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S’exprimant lors d’une rencontre dédiée au retour d'expériences des employeurs et des fédérations potentiellement bénéficiaires de cette Prime, M. Sekkouri a souligné que la PAE vise à promouvoir l’emploi durable, compte-tenu des types de contrat visés "CDI ou CDD de 12 mois", ainsi quel’insertion professionnelle des personnes en situation de vulnérabilité, notamment les non-diplômés, les personnes en situation de handicap et migrants en situation régulière.
Il s’agit, en outre, d’accompagner les TPE, en prenant en charge d’une partie des salaires de leurs nouvelles recrues pendant 9 mois, ainsi que d’améliorer l’employabilité des chercheurs d’emploi via l’ouverture de la formation contractualisée pour l’emploi FCE aux non-diplômés.
Rappelant le processus de sa mise en œuvre, le ministre a expliqué qu’il était d’abord question d’identifier le potentiel emploi auprès d’un groupe d’employeurs avant le lancement de la mesure, notant qu’à l’heure d’aujourd’hui, le nombre d’employeurs répertoriés a atteint 127 pour un potentiel de 30.896 insertions dans trois ans.
Il s’agissait, ensuite, de la projection du besoin, par secteur d’activité, en accompagnement au recrutement avec les fédérations professionnelles, a-t-il dit ajoutant que le potentiel d’insertions sur trois ans est de 63.000 personnes.
Ont participé à cette réunion quelque 60 employeurs directs et fédérations professionnelles signataires des conventions, en juillet dernier, compte-tenu de leurs engagements dans la promotion de la mesure et le suivi de son bénéfice par leurs membres.
Cette rencontre, organisée en collaboration avec l'Agence Nationale de Promotion de l’Emploi et des Compétences (ANAPEC), s’assigne pour objectif de recueillir les premières appréciations sur la mesure de la PAE et son mode de déploiement en relation avec les caractéristiques des postes à pourvoir et les spécificités sectorielles, ainsi que d’identifier avec les employeurs les pistes d’amélioration du processus de déploiement de cette mesure.
Il s’agit, en outre, d’accompagner les TPE, en prenant en charge d’une partie des salaires de leurs nouvelles recrues pendant 9 mois, ainsi que d’améliorer l’employabilité des chercheurs d’emploi via l’ouverture de la formation contractualisée pour l’emploi FCE aux non-diplômés.
Rappelant le processus de sa mise en œuvre, le ministre a expliqué qu’il était d’abord question d’identifier le potentiel emploi auprès d’un groupe d’employeurs avant le lancement de la mesure, notant qu’à l’heure d’aujourd’hui, le nombre d’employeurs répertoriés a atteint 127 pour un potentiel de 30.896 insertions dans trois ans.
Il s’agissait, ensuite, de la projection du besoin, par secteur d’activité, en accompagnement au recrutement avec les fédérations professionnelles, a-t-il dit ajoutant que le potentiel d’insertions sur trois ans est de 63.000 personnes.
Ont participé à cette réunion quelque 60 employeurs directs et fédérations professionnelles signataires des conventions, en juillet dernier, compte-tenu de leurs engagements dans la promotion de la mesure et le suivi de son bénéfice par leurs membres.
Cette rencontre, organisée en collaboration avec l'Agence Nationale de Promotion de l’Emploi et des Compétences (ANAPEC), s’assigne pour objectif de recueillir les premières appréciations sur la mesure de la PAE et son mode de déploiement en relation avec les caractéristiques des postes à pourvoir et les spécificités sectorielles, ainsi que d’identifier avec les employeurs les pistes d’amélioration du processus de déploiement de cette mesure.