Exaspéré par le soutien international croissant à la marocanité du Sahara et par le vote de la Résolution 2756, largement favorable à la cause nationale, le Polisario récidive en perpétrant un attentat terroriste dans la commune d’Al-Mahbès, lors du festival national de la Marche Verte qui s’est tenu du 9 au 11 novembre. Si le nombre et la nature des projectiles tirés n’ont pas encore été définis, les vidéos et images, qui documentent cette nouvelle attaque contre des civils, montrent de manière palpable que la frappe visait un rassemblement innocent de simples citoyens, à l’instar de celles de Smara en octobre 2023 et mai 2024, dont la première avait fait un mort et trois blessés parmi la population civile marocaine. Perpétrée à Al Mahbès, en proximité quasi-immédiate avec la frontière algérienne, cette tentative de carnage révèle aux yeux du monde l’implication franche et directe de l’Algérie dans les manoeuvres terroristes du Polisario en tant que base arrière, et surtout en tant que pourvoyeur d’armes et de fonds et principal commanditaire.
En frappant délibérément un rassemblement civil, les séparatistes non seulement défient les appels internationaux au calme, mais révèlent également les limites de l’action de la MINURSO, dont l’incapacité à instaurer l’ordre met en péril la sécurité du Royaume. Dans cette configuration, le Maroc, qui s’efforce de ne pas céder aux provocations armées, prône toujours la retenue de sorte à consolider les acquis diplomatiques obtenus ces dernières années, surtout depuis 2020, date de l’opération propre et millimétrée, engagée par les Forces Armées Royales marocaines (FAR) pour le nettoyage du passage frontalier d’El Guerguerat.
Sauf que le moment est venu pour que l’ONU sorte de son immobilisme et prenne des actions concrètes, chose qui a été clairement revendiquée par SM le Roi Mohammed VI dans Son discours de la Marche Verte, en appelant «les Nations Unies à prendre leurs responsabilités et en mettant en évidence la grande différence entre deux paradigmes: celui qu’incarne le Maroc dans son Sahara, réaliste et légitime, et celui qui repose sur une vision sclérosée, coupée du monde réel et de ses évolutions».
Aujourd’hui, la communauté internationale sait de quel côté se tenir et scrute les agissements des milices polisariennes, qui entretiennent des connexions avérées et documentées avec les groupes terroristes et les trafiquants de tout genre dans la région sahélo-saharienne, faisant de la région une zone de narcotrafic, de violation de droits de l’Homme et d’anarchie. Cette même région que le Maroc aspire, au contraire, à stabiliser et à intégrer via des projets d’envergure, dont on ne citera que l’Initiative Atlantique.
En frappant délibérément un rassemblement civil, les séparatistes non seulement défient les appels internationaux au calme, mais révèlent également les limites de l’action de la MINURSO, dont l’incapacité à instaurer l’ordre met en péril la sécurité du Royaume. Dans cette configuration, le Maroc, qui s’efforce de ne pas céder aux provocations armées, prône toujours la retenue de sorte à consolider les acquis diplomatiques obtenus ces dernières années, surtout depuis 2020, date de l’opération propre et millimétrée, engagée par les Forces Armées Royales marocaines (FAR) pour le nettoyage du passage frontalier d’El Guerguerat.
Sauf que le moment est venu pour que l’ONU sorte de son immobilisme et prenne des actions concrètes, chose qui a été clairement revendiquée par SM le Roi Mohammed VI dans Son discours de la Marche Verte, en appelant «les Nations Unies à prendre leurs responsabilités et en mettant en évidence la grande différence entre deux paradigmes: celui qu’incarne le Maroc dans son Sahara, réaliste et légitime, et celui qui repose sur une vision sclérosée, coupée du monde réel et de ses évolutions».
Aujourd’hui, la communauté internationale sait de quel côté se tenir et scrute les agissements des milices polisariennes, qui entretiennent des connexions avérées et documentées avec les groupes terroristes et les trafiquants de tout genre dans la région sahélo-saharienne, faisant de la région une zone de narcotrafic, de violation de droits de l’Homme et d’anarchie. Cette même région que le Maroc aspire, au contraire, à stabiliser et à intégrer via des projets d’envergure, dont on ne citera que l’Initiative Atlantique.