Le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération, José Manuel Albares, a déclaré que son pays considérait le Maroc comme un « pays fondamental » pour la stabilité de la région méditerranéenne. « Le Maroc est un pays fondamental pour la stabilité de l'ensemble de la Méditerranée », a-t-il déclaré dans une interview accordée au journal espagnol Diario de Sevilla le 14 novembre. Le diplomate espagnol a ajouté le partenariat entre les deux pays est stratégique soulignant la volonté de l’Espagne de renforcer davantage ses relations avec le Royaume.
Albares a précisé que « nous voulons tous les deux une relation basée sur les mêmes piliers : la confiance, le bénéfice et le respect mutuels, tout en évitant les actions unilatérales », ajoutant que l'Espagne est prête à ouvrir une « nouvelle page » dans ses relations avec le Maroc.
Plus tôt cette année, la querelle diplomatique entre le Maroc et l'Espagne a semblé prendre une autre tournure lorsque le pays ibérique a utilisé l'armée pour disperser et maltraiter les migrants à Sebta. Le Maroc a fait part de ses préoccupations concernant les retombées diplomatiques de la question migratoire de Sebta et la mise à l'abri par l'Espagne du chef du Polisario Brahim Ghali.
Dans ce contexte, le diplomate espagnol a évoqué une « relation saine » entre Madrid et Rabat malgré des problèmes persistants et non réglés. Il a reconnu que le Maroc s'était montré coopératif dans divers domaines sensibles, dont l'immigration clandestine, pour atténuer les tensions avec l'Espagne, déclarant : « Cet été, le Maroc a pleinement collaboré, les Andalous semblent rassurés ».
Evoquant les relations maroco-algériennes, le ministre espagnol a souligné que la crise entre les deux partenaires stratégiques de l'Espagne inquiètent Madrid.Lors de la même interview, José a insisté sur l'importance du dialogue régional, soulignant que les tensions algéro-marocaines seront incluses dans les discussions pour travailler « en faveur du bon voisinage, de la coopération et de la prospérité régionale en Méditerranée ».
Albares a précisé que « nous voulons tous les deux une relation basée sur les mêmes piliers : la confiance, le bénéfice et le respect mutuels, tout en évitant les actions unilatérales », ajoutant que l'Espagne est prête à ouvrir une « nouvelle page » dans ses relations avec le Maroc.
Plus tôt cette année, la querelle diplomatique entre le Maroc et l'Espagne a semblé prendre une autre tournure lorsque le pays ibérique a utilisé l'armée pour disperser et maltraiter les migrants à Sebta. Le Maroc a fait part de ses préoccupations concernant les retombées diplomatiques de la question migratoire de Sebta et la mise à l'abri par l'Espagne du chef du Polisario Brahim Ghali.
Dans ce contexte, le diplomate espagnol a évoqué une « relation saine » entre Madrid et Rabat malgré des problèmes persistants et non réglés. Il a reconnu que le Maroc s'était montré coopératif dans divers domaines sensibles, dont l'immigration clandestine, pour atténuer les tensions avec l'Espagne, déclarant : « Cet été, le Maroc a pleinement collaboré, les Andalous semblent rassurés ».
Evoquant les relations maroco-algériennes, le ministre espagnol a souligné que la crise entre les deux partenaires stratégiques de l'Espagne inquiètent Madrid.Lors de la même interview, José a insisté sur l'importance du dialogue régional, soulignant que les tensions algéro-marocaines seront incluses dans les discussions pour travailler « en faveur du bon voisinage, de la coopération et de la prospérité régionale en Méditerranée ».