Du 15 septembre au 27 octobre 2025, dix jeunes réalisatrices venues des cinq sous-régions africaines participent à la résidence « African Young Women in Action » (AYWA). Ce programme, soutenu par l’UNESCO, la Fondation Tamayouz Cinéma et de nombreux partenaires publics et privés, ambitionne de donner une visibilité internationale à une nouvelle génération de cinéastes africaines.
Sous la direction de la productrice marocaine Lamia Chraibi, fondatrice du programme, AYWA accompagne pendant six semaines ces jeunes talents dans toutes les étapes de la création : écriture, tournage et postproduction. L’objectif n’est pas seulement de permettre à chacune de signer un court-métrage personnel, mais aussi de bâtir collectivement une anthologie de films reliés par un fil narratif commun inspiré des centres d’appel de Casablanca, symbole de rencontres et de croisements culturels.
Encadrées par des figures du cinéma africain comme Hicham Lasri et le cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako, lauréat du César, les participantes bénéficient d’un accompagnement artistique de haut niveau et de l’expertise de professionnels internationaux.
Pour Lamia Chraibi, AYWA est avant tout « un manifeste pour la reconnaissance des voix féminines africaines et la promotion d’un cinéma collectif et ambitieux ». Les dix réalisatrices, venues de Namibie, Botswana, Éthiopie, Kenya, Cameroun, République centrafricaine, Libéria, Sénégal, Égypte, Algérie et Maroc, portent chacune une histoire singulière. Mais au-delà de leurs récits personnels, leur travail converge vers une ambition partagée : faire entendre, sur la scène mondiale, la pluralité des regards féminins africains.
La résidence prendra fin le 27 octobre à la Cinémathèque Marocaine de Rabat, avec la projection en avant-première des courts-métrages réalisés et un événement de networking réunissant producteurs, diffuseurs, plateformes et festivals. Une occasion pour ces jeunes cinéastes de présenter leur travail, mais aussi de nouer les contacts indispensables à la diffusion de leurs œuvres.
Née de la conviction de cinq professionnelles marocaines qui ont fondé la Fondation Tamayouz Cinéma en 2019, l’initiative est portée par l’UNESCO, avec le soutien de la République Populaire de Chine, de l’Université Mohammed VI Polytechnique, de la Story School, de La Prod, de Digital Factory et d’Intelcia.
Sous la direction de la productrice marocaine Lamia Chraibi, fondatrice du programme, AYWA accompagne pendant six semaines ces jeunes talents dans toutes les étapes de la création : écriture, tournage et postproduction. L’objectif n’est pas seulement de permettre à chacune de signer un court-métrage personnel, mais aussi de bâtir collectivement une anthologie de films reliés par un fil narratif commun inspiré des centres d’appel de Casablanca, symbole de rencontres et de croisements culturels.
Encadrées par des figures du cinéma africain comme Hicham Lasri et le cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako, lauréat du César, les participantes bénéficient d’un accompagnement artistique de haut niveau et de l’expertise de professionnels internationaux.
Pour Lamia Chraibi, AYWA est avant tout « un manifeste pour la reconnaissance des voix féminines africaines et la promotion d’un cinéma collectif et ambitieux ». Les dix réalisatrices, venues de Namibie, Botswana, Éthiopie, Kenya, Cameroun, République centrafricaine, Libéria, Sénégal, Égypte, Algérie et Maroc, portent chacune une histoire singulière. Mais au-delà de leurs récits personnels, leur travail converge vers une ambition partagée : faire entendre, sur la scène mondiale, la pluralité des regards féminins africains.
La résidence prendra fin le 27 octobre à la Cinémathèque Marocaine de Rabat, avec la projection en avant-première des courts-métrages réalisés et un événement de networking réunissant producteurs, diffuseurs, plateformes et festivals. Une occasion pour ces jeunes cinéastes de présenter leur travail, mais aussi de nouer les contacts indispensables à la diffusion de leurs œuvres.
Née de la conviction de cinq professionnelles marocaines qui ont fondé la Fondation Tamayouz Cinéma en 2019, l’initiative est portée par l’UNESCO, avec le soutien de la République Populaire de Chine, de l’Université Mohammed VI Polytechnique, de la Story School, de La Prod, de Digital Factory et d’Intelcia.