Sélectionné parmi une compétition particulièrement exigeante, incluant des films présentés à Cannes, le film illustre la portée internationale croissante du cinéma marocain, comme l’a rappelé le Centre cinématographique marocain, qui s’est félicité de cette distinction. Coproduction maroco-européenne, Calle Málaga a par ailleurs été choisie pour représenter le Maroc aux Oscars 2026, après avoir remporté en septembre le prix du public dans la catégorie Spotlight à la 82e Mostra de Venise.
Dans cet opus, Maryam Touzani mêle autofiction et récit imaginaire pour explorer des thèmes universels à travers la trajectoire de Maria Angeles (Carmen Maura), une octogénaire espagnole installée à Tanger, dont la quiétude quotidienne vacille lorsque sa fille Clara (Marta Etura) part à Madrid vendre l’appartement familial. La mère entreprend alors de récupérer les objets de sa vie, une quête qui se transforme en redécouverte de l’amour et du désir à l’âge avancé. Le film interroge ainsi avec sensibilité l’attachement aux lieux comme repères identitaires et le droit à l’affection dans la vieillesse, une thématique encore peu explorée dans le cinéma contemporain.
Tourné dans la Tanger natale de la réalisatrice, où sa grand-mère espagnole s’était installée après son mariage avec un Marocain, Calle Málaga conjugue authenticité des décors et subtilité des dialogues, reflétant la double culture linguistique et culturelle de la ville, entre espagnol et arabe. Maryam Touzani transforme ici une histoire intime en une expérience cinématographique universelle, où la mémoire, l’attachement aux lieux et l’émotion humaine deviennent un langage commun.
Après sa participation remarquée au Festival international de Toronto (TIFF), Calle Málaga est attendu au Maroc lors de la 22e édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM 2025), offrant au public national l’opportunité de célébrer cette œuvre qui incarne une nouvelle vitrine du cinéma marocain sur la scène mondiale.
Dans cet opus, Maryam Touzani mêle autofiction et récit imaginaire pour explorer des thèmes universels à travers la trajectoire de Maria Angeles (Carmen Maura), une octogénaire espagnole installée à Tanger, dont la quiétude quotidienne vacille lorsque sa fille Clara (Marta Etura) part à Madrid vendre l’appartement familial. La mère entreprend alors de récupérer les objets de sa vie, une quête qui se transforme en redécouverte de l’amour et du désir à l’âge avancé. Le film interroge ainsi avec sensibilité l’attachement aux lieux comme repères identitaires et le droit à l’affection dans la vieillesse, une thématique encore peu explorée dans le cinéma contemporain.
Tourné dans la Tanger natale de la réalisatrice, où sa grand-mère espagnole s’était installée après son mariage avec un Marocain, Calle Málaga conjugue authenticité des décors et subtilité des dialogues, reflétant la double culture linguistique et culturelle de la ville, entre espagnol et arabe. Maryam Touzani transforme ici une histoire intime en une expérience cinématographique universelle, où la mémoire, l’attachement aux lieux et l’émotion humaine deviennent un langage commun.
Après sa participation remarquée au Festival international de Toronto (TIFF), Calle Málaga est attendu au Maroc lors de la 22e édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM 2025), offrant au public national l’opportunité de célébrer cette œuvre qui incarne une nouvelle vitrine du cinéma marocain sur la scène mondiale.
