Fondée et présidée par Mohamed Ghazouani, cette association s’est donnée pour mission de promouvoir et préserver un art ancestral de chasse avec des oiseaux de proie, profondément enraciné dans l’histoire et la culture marocaines. Active dans toute la région d’El Jadida, elle s’impose comme un acteur incontournable de la sauvegarde du patrimoine immatériel lié à la fauconnerie.
Mais au Moussem, son rôle dépasse la simple préservation : elle en est l’une des grandes animations phares. Dans le tumulte des fantasia, des chants populaires et des marchés parfumés, les démonstrations de fauconnerie attirent irrésistiblement les visiteurs. Des cercles compacts se forment autour des fauconniers, les yeux se tournent vers le ciel, et chaque envol arrache des cris d’admiration.
« Nos faucons ne sont pas seulement des chasseurs, ce sont les ambassadeurs de notre histoire », explique Mohamed Ghazouani. À ses côtés, son fils Taha, jeune prodige, incarne la relève avec assurance et passion, reproduisant les gestes précis transmis de génération en génération.
Les visiteurs — familles locales, touristes nationaux et étrangers — se pressent pour voir de près ces rois du ciel. Les enfants s’émerveillent, les plus âgés se souviennent, les amateurs de patrimoine capturent l’instant. La fauconnerie, grâce aux Lekouassems, devient un spectacle vivant, une rencontre intime entre tradition et émotion.
Et lorsque le faucon s’élance au-dessus des plaines de Doukkala, son vol ne dessine pas seulement une figure dans le ciel : il trace un lien invisible entre le passé et l’avenir, entre la mémoire des anciens et l’enthousiasme des nouvelles générations
Mais au Moussem, son rôle dépasse la simple préservation : elle en est l’une des grandes animations phares. Dans le tumulte des fantasia, des chants populaires et des marchés parfumés, les démonstrations de fauconnerie attirent irrésistiblement les visiteurs. Des cercles compacts se forment autour des fauconniers, les yeux se tournent vers le ciel, et chaque envol arrache des cris d’admiration.
« Nos faucons ne sont pas seulement des chasseurs, ce sont les ambassadeurs de notre histoire », explique Mohamed Ghazouani. À ses côtés, son fils Taha, jeune prodige, incarne la relève avec assurance et passion, reproduisant les gestes précis transmis de génération en génération.
Les visiteurs — familles locales, touristes nationaux et étrangers — se pressent pour voir de près ces rois du ciel. Les enfants s’émerveillent, les plus âgés se souviennent, les amateurs de patrimoine capturent l’instant. La fauconnerie, grâce aux Lekouassems, devient un spectacle vivant, une rencontre intime entre tradition et émotion.
Et lorsque le faucon s’élance au-dessus des plaines de Doukkala, son vol ne dessine pas seulement une figure dans le ciel : il trace un lien invisible entre le passé et l’avenir, entre la mémoire des anciens et l’enthousiasme des nouvelles générations