L’empreinte carbone annuelle des milliardaires étudiés s’élève à 586 millions de tonnes d’équivalent CO², soit plus que les émissions annuelles combinées de pays comme le Danemark, la Finlande, la Norvège et 115 autres nations, précise le rapport d’Oxfam.
L’ONG dénonce une concentration extrême des responsabilités environnementales dans les mains d’un nombre infime d’individus. Elle rappelle que «les ultrariches brûlent la planète à une vitesse vertigineuse».
L’ONG ajoute que «la moitié la plus pauvre de la population mondiale a réduit ses émissions de 3% depuis 1990, tandis que les 1% les plus riches les ont augmentées de 13% et les 0,1% les plus riches de 32%».
Selon le rapport, un individu appartenant aux 0,1% les plus riches de la planète émet plus de 800 kg de CO² par jour. En comparaison, une personne parmi les 50% les plus pauvres n’en produit que 2 kg.
En France, l’écart est tout aussi marquant. Oxfam a calculé qu’«en moyenne, une personne appartenant au 0,1% le plus riche émet 40 fois plus de CO² qu’une personne appartenant aux 50% les plus pauvres».
Au-delà des chiffres, l’organisation pointe la responsabilité structurelle de cette élite: investissements dans les énergies fossiles, influence sur les politiques climatiques, financement de la désinformation ou encore pression sur les régulations environnementales.
Ce rapport intervient alors que le temps joue contre les objectifs climatiques fixés par l’Accord de Paris, selon l'ONG.
L’ONG dénonce une concentration extrême des responsabilités environnementales dans les mains d’un nombre infime d’individus. Elle rappelle que «les ultrariches brûlent la planète à une vitesse vertigineuse».
L’ONG ajoute que «la moitié la plus pauvre de la population mondiale a réduit ses émissions de 3% depuis 1990, tandis que les 1% les plus riches les ont augmentées de 13% et les 0,1% les plus riches de 32%».
Selon le rapport, un individu appartenant aux 0,1% les plus riches de la planète émet plus de 800 kg de CO² par jour. En comparaison, une personne parmi les 50% les plus pauvres n’en produit que 2 kg.
En France, l’écart est tout aussi marquant. Oxfam a calculé qu’«en moyenne, une personne appartenant au 0,1% le plus riche émet 40 fois plus de CO² qu’une personne appartenant aux 50% les plus pauvres».
Au-delà des chiffres, l’organisation pointe la responsabilité structurelle de cette élite: investissements dans les énergies fossiles, influence sur les politiques climatiques, financement de la désinformation ou encore pression sur les régulations environnementales.
Ce rapport intervient alors que le temps joue contre les objectifs climatiques fixés par l’Accord de Paris, selon l'ONG.























