Le président de l’université, Dr. Az Eddine Azim, prend la parole avec la sérénité de ceux qui savent que les chiffres parlent d’eux-mêmes. En deux ans, les inscriptions ont bondi de 41 %, atteignant 12.896 nouveaux étudiants pour l’année 2024-2025. Une progression qui ne doit rien au hasard, mais tout à une dynamique d’attractivité régionale, à l’élargissement de l’offre de formation et à la réputation d’un encadrement académique solide. En 2025, l’université célèbre 5.491 diplômés, contre moins de 2.000 une décennie plus tôt. Une génération entière formée, accompagnée, lancée dans le monde.
Mais cette croissance, aussi réjouissante soit-elle, impose son rythme. Les murs peinent à suivre l’élan. Certains projets structurants attendent encore leur heure : un siège pour l’École nationale de commerce et de gestion, des locaux pour l’École supérieure de l’éducation et de la formation, un Institut supérieur des sciences de la santé, des facultés à spécialiser. Autant de chantiers suspendus, non par manque de volonté, mais par les lenteurs du foncier et les silences administratifs. L’université, elle, ne baisse pas les bras. Elle appelle, propose, relance. Elle croit au dialogue territorial, à la convergence des volontés.
Et pendant que les plans patientent, la vie universitaire, elle, ne ralentit pas. L’année a été dense, vibrante, ponctuée de rencontres scientifiques, de compétitions sportives, d’initiatives culturelles. Des distinctions nationales et internationales sont venues saluer l’excellence des équipes et l’engagement des étudiants. L’université avance, même dans l’attente. Elle innove, elle inspire, elle s’ancre.
Ce rapport annuel, dévoilé dans un esprit d’ouverture et de transparence, n’est pas un simple exercice de communication. C’est un instantané d’un établissement en mouvement, qui regarde loin sans perdre pied. Une université qui croit en sa mission, en ses jeunes, en son territoire. Et qui, malgré les défis, continue de bâtir — avec patience, avec passion, avec foi dans l’avenir.
Mais cette croissance, aussi réjouissante soit-elle, impose son rythme. Les murs peinent à suivre l’élan. Certains projets structurants attendent encore leur heure : un siège pour l’École nationale de commerce et de gestion, des locaux pour l’École supérieure de l’éducation et de la formation, un Institut supérieur des sciences de la santé, des facultés à spécialiser. Autant de chantiers suspendus, non par manque de volonté, mais par les lenteurs du foncier et les silences administratifs. L’université, elle, ne baisse pas les bras. Elle appelle, propose, relance. Elle croit au dialogue territorial, à la convergence des volontés.
Et pendant que les plans patientent, la vie universitaire, elle, ne ralentit pas. L’année a été dense, vibrante, ponctuée de rencontres scientifiques, de compétitions sportives, d’initiatives culturelles. Des distinctions nationales et internationales sont venues saluer l’excellence des équipes et l’engagement des étudiants. L’université avance, même dans l’attente. Elle innove, elle inspire, elle s’ancre.
Ce rapport annuel, dévoilé dans un esprit d’ouverture et de transparence, n’est pas un simple exercice de communication. C’est un instantané d’un établissement en mouvement, qui regarde loin sans perdre pied. Une université qui croit en sa mission, en ses jeunes, en son territoire. Et qui, malgré les défis, continue de bâtir — avec patience, avec passion, avec foi dans l’avenir.
Mohamed LOKHNATI
