Les deux gardiens ont largement influencé l’issue de la finale : le portier iranien s’est illustré par une performance remarquable, tandis que son homologue marocain a enchainé les contre-performances.
Les Iraniens ont plié le match dès la première période, regagnant les vestiaires avec une avance confortable de 3 à 0.
En seconde mi-temps, le jeu s’est essentiellement déroulé dans la moitié de terrain iranienne. Ces derniers ont volontairement laissé la possession aux Marocains, érigeant deux murailles successives : la première formée par les quatre joueurs de champ, et la seconde incarnée par le gardien Mohammadi, véritable rempart infranchissable.
L’équipe nationale marocaine a tenté de renverser la situation en optant régulièrement pour le Power Play dès qu’elle récupérait le ballon, mais sans réussite. Pire encore, cette stratégie s’est retournée contre elle : les Marocains ont encaissé un quatrième but dans les dernières minutes, avant que les Iraniens n’en ajoutent un cinquième pour sceller définitivement le score.
Les Iraniens ont plié le match dès la première période, regagnant les vestiaires avec une avance confortable de 3 à 0.
En seconde mi-temps, le jeu s’est essentiellement déroulé dans la moitié de terrain iranienne. Ces derniers ont volontairement laissé la possession aux Marocains, érigeant deux murailles successives : la première formée par les quatre joueurs de champ, et la seconde incarnée par le gardien Mohammadi, véritable rempart infranchissable.
L’équipe nationale marocaine a tenté de renverser la situation en optant régulièrement pour le Power Play dès qu’elle récupérait le ballon, mais sans réussite. Pire encore, cette stratégie s’est retournée contre elle : les Marocains ont encaissé un quatrième but dans les dernières minutes, avant que les Iraniens n’en ajoutent un cinquième pour sceller définitivement le score.



















