Le Service de sécurité intérieure israélien (ISA) et la police israélienne ont annoncé, ce jeudi 25 septembre, l’arrestation, plus tôt ce mois-ci, de Yaakov Perl, 49 ans, citoyen israélo-américain, soupçonné d’avoir entretenu des contacts avec des agents iraniens et d’avoir exécuté des missions pour leur compte.
Installé ces dernières années au Maroc, Perl aurait, dès 2017, pris contact par téléphone avec l’ambassade d’Iran à Rabat afin de demander l’asile pour lui et sa famille. Sans réponse à l’époque, il aurait, en 2023, commencé à diffuser sur Telegram des publications hostiles à Israël et au sionisme, en relayant des contenus issus de sites d’information iraniens.
En janvier 2025, après avoir publié un article de soutien à la suite des funérailles de Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, Perl aurait été approché par un agent iranien lui proposant une coopération. Il aurait accepté, indiquent des médias israéliens.
L’enquête révèle qu’avant son retour en Israël, Perl a tenté de recruter, sans succès, plusieurs personnes en Israël et à l’étranger pour collecter des renseignements au profit de l’Iran. Il aurait alors accepté d’exécuter lui-même les missions demandées par ses contacts iraniens. Pour ce faire, il a renouvelé son passeport israélien et est arrivé en Israël en juillet 2025.
Sur place, il aurait photographié et filmé divers sites et rues, tout en transmettant aux Iraniens des informations sur des personnalités israéliennes, notamment l’ancien chef d’état-major de Tsahal Herzi Halevi et le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir. Ses activités auraient été rémunérées en cryptomonnaie.
Selon l’ISA, Perl agissait « en pleine conscience » qu’il servait les intérêts des services de renseignement iraniens et que ses actions pouvaient porter atteinte à la sécurité d’Israël, motivé par sa conviction qu’il fallait « agir contre l’État d’Israël et le sionisme ».
Un acte d’accusation devrait être déposé dans les prochains jours devant le tribunal de district de Tel-Aviv.
Installé ces dernières années au Maroc, Perl aurait, dès 2017, pris contact par téléphone avec l’ambassade d’Iran à Rabat afin de demander l’asile pour lui et sa famille. Sans réponse à l’époque, il aurait, en 2023, commencé à diffuser sur Telegram des publications hostiles à Israël et au sionisme, en relayant des contenus issus de sites d’information iraniens.
En janvier 2025, après avoir publié un article de soutien à la suite des funérailles de Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, Perl aurait été approché par un agent iranien lui proposant une coopération. Il aurait accepté, indiquent des médias israéliens.
L’enquête révèle qu’avant son retour en Israël, Perl a tenté de recruter, sans succès, plusieurs personnes en Israël et à l’étranger pour collecter des renseignements au profit de l’Iran. Il aurait alors accepté d’exécuter lui-même les missions demandées par ses contacts iraniens. Pour ce faire, il a renouvelé son passeport israélien et est arrivé en Israël en juillet 2025.
Sur place, il aurait photographié et filmé divers sites et rues, tout en transmettant aux Iraniens des informations sur des personnalités israéliennes, notamment l’ancien chef d’état-major de Tsahal Herzi Halevi et le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir. Ses activités auraient été rémunérées en cryptomonnaie.
Selon l’ISA, Perl agissait « en pleine conscience » qu’il servait les intérêts des services de renseignement iraniens et que ses actions pouvaient porter atteinte à la sécurité d’Israël, motivé par sa conviction qu’il fallait « agir contre l’État d’Israël et le sionisme ».
Un acte d’accusation devrait être déposé dans les prochains jours devant le tribunal de district de Tel-Aviv.
