Les relations entre les deux plus grandes économies d'Asie se sont tendues après que la nouvelle cheffe nationaliste du gouvernement japonais a suggéré début novembre que Tokyo pourrait intervenir militairement en cas d'attaque contre l'île, que la Chine considère comme faisant partie de son territoire.
Lors d'un appel téléphonique avec Donald Trump lundi, le dirigeant chinois Xi Jinping a insisté sur ce sujet sensible, affirmant que ce retour de Taïwan au sein de la Chine faisait partie intégrante de "l'ordre international d'après-guerre", selon le ministère chinois des Affaires étrangères.
Peu après, "Trump a organisé un appel avec Takaichi et lui a conseillé de ne pas provoquer Pékin sur la question de la souveraineté de l'île", a indiqué le quotidien WSJ.
"L'avis de Trump était subtil, et il ne l'a pas poussée à revenir sur ses propos", a toutefois précisé le journal.
Dans son compte-rendu de l'appel, la Première ministre japonaise s'est bornée à indiquer qu'elle et Donald Trump avaient évoqué la conversation avec Xi Jinping, ainsi que les relations entre les deux alliés.
"Le président Trump a dit que nous étions de très proches amis, et il m'a proposé de l'appeler à tout moment", a-t-elle déclaré. Mais selon le WSJ, "les responsables japonais ont jugé le message préoccupant".
À la suite des propos de Sanae Takaichi, la Chine a convoqué l'ambassadeur du Japon et conseillé à ses citoyens d'éviter de voyager dans l'archipel. La sortie de plusieurs films japonais a également été reportée en Chine, selon les médias d'État chinois.
Lors d'un appel téléphonique avec Donald Trump lundi, le dirigeant chinois Xi Jinping a insisté sur ce sujet sensible, affirmant que ce retour de Taïwan au sein de la Chine faisait partie intégrante de "l'ordre international d'après-guerre", selon le ministère chinois des Affaires étrangères.
Peu après, "Trump a organisé un appel avec Takaichi et lui a conseillé de ne pas provoquer Pékin sur la question de la souveraineté de l'île", a indiqué le quotidien WSJ.
"L'avis de Trump était subtil, et il ne l'a pas poussée à revenir sur ses propos", a toutefois précisé le journal.
Dans son compte-rendu de l'appel, la Première ministre japonaise s'est bornée à indiquer qu'elle et Donald Trump avaient évoqué la conversation avec Xi Jinping, ainsi que les relations entre les deux alliés.
"Le président Trump a dit que nous étions de très proches amis, et il m'a proposé de l'appeler à tout moment", a-t-elle déclaré. Mais selon le WSJ, "les responsables japonais ont jugé le message préoccupant".
À la suite des propos de Sanae Takaichi, la Chine a convoqué l'ambassadeur du Japon et conseillé à ses citoyens d'éviter de voyager dans l'archipel. La sortie de plusieurs films japonais a également été reportée en Chine, selon les médias d'État chinois.





















