Les victimes, ouvriers agricoles en quête de subsistance, ont vu leur quotidien se transformer en tragédie, comme si la terre elle-même s’était retournée contre ceux qui la cultivent. Les sirènes des secours ont déchiré le silence des campagnes, transportant les blessés vers l’hôpital, tandis que les autorités, telles des gardiens vigilants, s’attellent à démêler les fils de ce drame.
Ainsi, une journée de labeur s’est muée en funeste parabole : la fragilité humaine face aux caprices de la route, et la précarité des travailleurs face aux périls d’un transport indigne.
Ainsi, une journée de labeur s’est muée en funeste parabole : la fragilité humaine face aux caprices de la route, et la précarité des travailleurs face aux périls d’un transport indigne.
Mohamed LOKHNATI





















