L’Association Doukkala sort de son silence et publie une mise au point cinglante en réaction aux déclarations du président du Conseil Communal, qui l’accusait de s’être désengagée du projet de sanitaires publics faute de moyens. Une version que l’association qualifie de « dénuée de tout fondement ».
Dans une lettre adressée au président du Conseil, le président de l’association, Abdelkrim Bencherki, affirme que l'association Doukkala a été à l’origine de la mobilisation sur ce dossier, avant de se voir imposer une convention déjà signée, lui attribuant la charge exclusive du financement de treize sanitaires publics.
« Une démarche unilatérale et surprenante », dénonce l’association, qui y voit une tentative manifeste de la commune de se soustraire à ses obligations légales en matière d’hygiène et de santé publique.
Le projet, pourtant attendu depuis des décennies, reste aujourd’hui à l’arrêt. L’Association Doukkala appelle à une reprise sérieuse du dossier et à une résolution effective, au bénéfice des habitants d’El Jadida.
Une réaction qui relance le débat sur la gouvernance locale et les responsabilités dans les projets d’intérêt public.
Dans une lettre adressée au président du Conseil, le président de l’association, Abdelkrim Bencherki, affirme que l'association Doukkala a été à l’origine de la mobilisation sur ce dossier, avant de se voir imposer une convention déjà signée, lui attribuant la charge exclusive du financement de treize sanitaires publics.
« Une démarche unilatérale et surprenante », dénonce l’association, qui y voit une tentative manifeste de la commune de se soustraire à ses obligations légales en matière d’hygiène et de santé publique.
Le projet, pourtant attendu depuis des décennies, reste aujourd’hui à l’arrêt. L’Association Doukkala appelle à une reprise sérieuse du dossier et à une résolution effective, au bénéfice des habitants d’El Jadida.
Une réaction qui relance le débat sur la gouvernance locale et les responsabilités dans les projets d’intérêt public.
Mohamed LOKHNATI