Dans les recoins sombres d’un chemin de terre oublié, quatre silhouettes s’affairaient, pressées, nerveuses. Deux utilitaires, des ballots soigneusement empilés… et une cargaison plus lourde que le silence qui les entourait : 3,8 tonnes de chira, prêtes à disparaître dans les circuits souterrains du narcotrafic international.
Mais ce que ces trafiquants ne savaient pas, c’est qu’ils étaient déjà dans le viseur. Depuis plusieurs jours, les services de renseignement marocains, tapis dans l’ombre, tissaient leur toile. Et cette nuit-là, le piège s’est refermé.
Dans une synchronisation quasi militaire, les forces du Commissariat de circonscription d'Oued Zem, épaulées par celles de District Provincial de Khouribga et de Béni Mellal, ont surgi comme une tempête silencieuse. Le face-à-face fut bref. Les suspects, âgés de 23 à 35 ans, ont tenté une résistance désespérée, brandissant des armes blanches comme des naufragés enragés. Mais face à la précision implacable des policiers, leurs gestes n’étaient que les soubresauts d’un combat déjà perdu.
Le butin, lui, laisse sans voix : des tonnes de résine, soigneusement conditionnées, prêtes à empoisonner des milliers de vies. Une saisie record, mais surtout une victoire éclatante dans cette guerre discrète que mène le Royaume contre les réseaux criminels transnationaux.
Ce soir-là, entre champs d’oliviers et silence rural, ce ne sont pas les étoiles qui ont brillé le plus fort. C’est la justice.
Mais ce que ces trafiquants ne savaient pas, c’est qu’ils étaient déjà dans le viseur. Depuis plusieurs jours, les services de renseignement marocains, tapis dans l’ombre, tissaient leur toile. Et cette nuit-là, le piège s’est refermé.
Dans une synchronisation quasi militaire, les forces du Commissariat de circonscription d'Oued Zem, épaulées par celles de District Provincial de Khouribga et de Béni Mellal, ont surgi comme une tempête silencieuse. Le face-à-face fut bref. Les suspects, âgés de 23 à 35 ans, ont tenté une résistance désespérée, brandissant des armes blanches comme des naufragés enragés. Mais face à la précision implacable des policiers, leurs gestes n’étaient que les soubresauts d’un combat déjà perdu.
Le butin, lui, laisse sans voix : des tonnes de résine, soigneusement conditionnées, prêtes à empoisonner des milliers de vies. Une saisie record, mais surtout une victoire éclatante dans cette guerre discrète que mène le Royaume contre les réseaux criminels transnationaux.
Ce soir-là, entre champs d’oliviers et silence rural, ce ne sont pas les étoiles qui ont brillé le plus fort. C’est la justice.