Cette réunion s'inscrit dans le cadre d'une mission d'organisations internationales dans les provinces du Sud du Royaume du Maroc. Cette mission visait à examiner les réalisations globales dans la région en matière de développement et à évaluer l'impact des politiques publiques marocaines sur la promotion de la croissance économique et des infrastructures, notamment dans le cadre de la mise en œuvre de la haute vision royale visant à faire des provinces du Sud un pont pour l'intégration afro-atlantique.
La conférence, organisée par l'École nationale de commerce et de gestion de Dakhla (ENCG), a réuni plus de 100 étudiants et plusieurs acteurs de la société civile, ainsi que les consuls généraux du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau, du Guatemala, d'Haïti et du Togo.
Les participants ont exprimé leur profonde admiration pour les progrès réalisés en matière de développement à Dakhla et dans la région d’Oued Eddahab, considérant l'expérience marocaine comme un modèle africain de développement intégré.
La conférence, organisée par l'École nationale de commerce et de gestion de Dakhla (ENCG), a réuni plus de 100 étudiants et plusieurs acteurs de la société civile, ainsi que les consuls généraux du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau, du Guatemala, d'Haïti et du Togo.
Les participants ont exprimé leur profonde admiration pour les progrès réalisés en matière de développement à Dakhla et dans la région d’Oued Eddahab, considérant l'expérience marocaine comme un modèle africain de développement intégré.
Éloge international pour la vision royale
Dans son allocution, Mme Hannah Foster, coordinatrice du Forum des ONG au sein de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, a souligné que les observations qu’elle a faites lors de sa visite dans les provinces du Sud contredisent totalement les allégations malveillantes propagées par le Front Polisario et l’Algérie. Elle a noté que « la réalité sur le terrain reflète un développement réel et une stabilité solide grâce aux projets structurants lancés par le Royaume du Maroc dans divers secteurs ».
Elle a ajouté que l’Initiative royale visant à permettre aux pays du Sahel d’accéder à l’Atlantique incarne une vision africaine avancée qui fait du Maroc un acteur incontournable dans la refonte de la coopération continentale et ouvre des perspectives stratégiques pour le développement et les échanges entre les peuples de l’Afrique atlantique.
Une nouvelle vision africaine de l’intégration économique
Pour sa part, M. Ayman Akil, vice-président du Conseil économique, social et culturel de l’Union africaine (ECOSOCC), a souligné que cette Initiative royale constitue une étape pionnière vers la réalisation de l’intégration africaine souhaitée, ajoutant que « Dakhla, avec ses infrastructures de pointe et sa situation géographique stratégique, constitue une véritable passerelle entre l’Afrique, l’Europe et l’Amérique latine ».
Il a souligné que le Maroc « a non seulement lancé des projets majeurs dans le Sud, mais s’est également engagé à autonomiser les populations africaines et à renforcer les capacités locales, faisant du modèle de développement marocain une expérience pionnière dont d’autres pays africains peuvent tirer profit ».
Il a souligné que le Maroc « a non seulement lancé des projets majeurs dans le Sud, mais s’est également engagé à autonomiser les populations africaines et à renforcer les capacités locales, faisant du modèle de développement marocain une expérience pionnière dont d’autres pays africains peuvent tirer profit ».
Éloges des grands projets et des infrastructures
M. Boutal Lamberki, vice-président du Conseil régional de Dakhla-Oued Eddahab, a expliqué que l’Initiative royale visant à relier les pays du Sahel à l’Atlantique traduit clairement la vision royale de transformer l’Atlantique en un espace d’intégration et de développement partagé. Il a souligné que le projet de port atlantique de Dakhla, ainsi que les projets d’autoroute et d’énergies renouvelables, « constituent un pilier fondamental de cette vision royale éclairée ».
Il a ajouté que ces projets « feront de Dakhla un carrefour stratégique reliant le Maroc à son arrière-pays africain et offriront aux pays du Sahel une porte d’entrée stratégique vers les marchés internationaux, ouvrant ainsi des perspectives prometteuses en matière d’échanges et d’investissements ».
Témoignages de diplomates africains
De leur côté, les consuls généraux du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau, d’Haïti, du Guatemala et du Togo ont exprimé leur profonde admiration pour le développement urbain et économique réalisé à Dakhla, saluant « la sage politique royale qui a fait des provinces du Sud une véritable plateforme de développement africain partagé ».
Le consul général de la Guinée-Bissau a affirmé que son pays « suivait avec grand intérêt l’Initiative royale visant à permettre aux pays du Sahel d’accéder à l’Atlantique », la qualifiant d’« initiative stratégique à dimension continentale, consolidant le rôle moteur du Maroc en tant que puissance africaine responsable et proactive ».
Affirmation de la profondeur du partenariat africain
À l’issue de la conférence, les participants ont convenu que les régions du Sud du Royaume du Maroc représentent aujourd’hui un modèle vivant de développement africain durable. Ils ont également convenu que la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, a fait de Dakhla un pont entre l’Afrique, l’Europe et les Amériques, et un laboratoire fructueux pour l’incarnation du concept d’« Afrique atlantique », fondé sur la coopération, la solidarité et les intérêts communs.
Cette conférence internationale témoigne d’un consensus international croissant quant à la réussite du modèle marocain dans les régions du Sud et confirme que l’Initiative royale atlantique constitue la pierre angulaire de la construction d’un nouveau partenariat africain fondé sur un accès équitable aux ressources et aux corridors maritimes, dans le cadre d’une vision royale visant à instaurer la paix, le développement et l’intégration continentale.
Ahmadou El-Katab