Une première mi-temps triste et monotone, quarante cinq minutes avec zéro tir au but et deux seules occasions de but ratées grâce à la vigilance de la défense qui était vraiment le point fort des deux équipes.
Il a fallu attendre les cinq minutes des prolongations pour voir enfin deux buts. A la 93ème minute, une flagrante erreur du goal local El Ouaad, avec une sortie hasardeuse, permettait au camerounais Bello d’ouvrir le score.
Une minute plus tard, l’arbitre siffla un pénalty transformé par Metouali sous la protestation des Gadiris.
A vrai dire, l’action paraissait douteuse. Trop de fautes sanctionnées par des coups francs, des passes défectueuses, des balles à l’adversaire, de mauvais tirs, telles les caractéristiques d’une mi-temps où le spectacle brillait par son absence mais une sportivité et une conduite exemplaires d’un côté comme de l’autre.
Après la pause, il y avait le même scénario avec un football sans aucune technique.
Deux uniques occasions de but ratées par chacune des formations : une perte de ballon par un défenseur tangérois et un tir défectueux d’un Gadiri suivie d’un ballon IRT sur le poteau auraient pu donner un éventuel 2-2.
Dans les deux camps, il y avait une domination (un quart d’heure pour l’IRT et un quart d’heure pour le HUSA) mais toutes les actions se terminaient dans la confusion.
Selon le staff technique et les dirigeants, tantôt l’IRT comme le HUSA manquaient de préparation dans cette première journée du championnat.
Ce qui n’était guère une excuse lorsqu’il s’agit de footballeurs professionnels qui doivent s’adapter à toutes les situations.
A vrai dire, le spectacle offert aussi bien par les locaux que par les visiteurs laissait beaucoup à désirer et montrait bien qu’ils auraient des difficultés pour éviter la relégation ou les barrages.
Ce qui était inquiétant, c’était de voir les entraineurs procéder à de nombreux changements dans une improvisation totale.
Pour le système de jeu, tout était confus et incompréhensible.
La peur de la défaite constituait la devise de la rencontre et le partage des points contentait tout le monde.
Sur le banc de touche Tayr a beaucoup surpris en alignant un onze titulaire où aucun espoir ne figurait.
Même dans les changements de fin du match, les jeunes n’ont fait aucune apparition.
Un détail qui est à revoir et qui demande une explication car le comité actuel a opté pout la formation.
Une rencontre à oublier sur tous les plans et la préparation précoce à Madrid et à Tanger n’a pas encore donné ses fruits.
A noter l’excellente conduite des ultras qui ont bien encouragé l’IRT tout en respectant les visiteurs.
Il a fallu attendre les cinq minutes des prolongations pour voir enfin deux buts. A la 93ème minute, une flagrante erreur du goal local El Ouaad, avec une sortie hasardeuse, permettait au camerounais Bello d’ouvrir le score.
Une minute plus tard, l’arbitre siffla un pénalty transformé par Metouali sous la protestation des Gadiris.
A vrai dire, l’action paraissait douteuse. Trop de fautes sanctionnées par des coups francs, des passes défectueuses, des balles à l’adversaire, de mauvais tirs, telles les caractéristiques d’une mi-temps où le spectacle brillait par son absence mais une sportivité et une conduite exemplaires d’un côté comme de l’autre.
Après la pause, il y avait le même scénario avec un football sans aucune technique.
Deux uniques occasions de but ratées par chacune des formations : une perte de ballon par un défenseur tangérois et un tir défectueux d’un Gadiri suivie d’un ballon IRT sur le poteau auraient pu donner un éventuel 2-2.
Dans les deux camps, il y avait une domination (un quart d’heure pour l’IRT et un quart d’heure pour le HUSA) mais toutes les actions se terminaient dans la confusion.
Selon le staff technique et les dirigeants, tantôt l’IRT comme le HUSA manquaient de préparation dans cette première journée du championnat.
Ce qui n’était guère une excuse lorsqu’il s’agit de footballeurs professionnels qui doivent s’adapter à toutes les situations.
A vrai dire, le spectacle offert aussi bien par les locaux que par les visiteurs laissait beaucoup à désirer et montrait bien qu’ils auraient des difficultés pour éviter la relégation ou les barrages.
Ce qui était inquiétant, c’était de voir les entraineurs procéder à de nombreux changements dans une improvisation totale.
Pour le système de jeu, tout était confus et incompréhensible.
La peur de la défaite constituait la devise de la rencontre et le partage des points contentait tout le monde.
Sur le banc de touche Tayr a beaucoup surpris en alignant un onze titulaire où aucun espoir ne figurait.
Même dans les changements de fin du match, les jeunes n’ont fait aucune apparition.
Un détail qui est à revoir et qui demande une explication car le comité actuel a opté pout la formation.
Une rencontre à oublier sur tous les plans et la préparation précoce à Madrid et à Tanger n’a pas encore donné ses fruits.
A noter l’excellente conduite des ultras qui ont bien encouragé l’IRT tout en respectant les visiteurs.
RACHID MADANI