La suspension concerne l’ensemble des pratiques traditionnellement observées en amont de la fête : la vente de bétail, de fourrage, de charbon, ainsi que l’affûtage des couteaux dans l’espace public sont désormais strictement interdits. Cette directive s'applique aussi aux transactions informelles opérées dans les garages ou exploitations agricoles.
Selon des sources proches du dossier, cette décision souveraine répond à l’appel pressant de Sa Majesté, qui, dans un souci de lucidité et de compassion, a exhorté ses concitoyens à renoncer cette année à la célébration du sacrifice. L’état alarmant du cheptel national, conjugué à la sévérité de la sécheresse, impose une conduite empreinte de sagesse et de solidarité.
Les mesures prises visent à encadrer fermement le territoire contre toute tentative d’organisation parallèle ou de commerce illicite. Elles ont pour objectif d’endiguer les risques sanitaires, d’éviter les tensions sociales et de préserver un ordre public fragile en ces temps de crise environnementale aiguë.
Cette décision, bien que lourde de portée symbolique pour un peuple profondément attaché à ses traditions, traduit une posture d’État exemplaire : celle d’un Royaume qui place la résilience collective et la préservation des équilibres vitaux au-dessus des rites, aussi sacrés soient-ils. En cela, elle incarne un appel à l’unité et à la responsabilité nationale face aux défis climatiques et économiques contemporains.
Selon des sources proches du dossier, cette décision souveraine répond à l’appel pressant de Sa Majesté, qui, dans un souci de lucidité et de compassion, a exhorté ses concitoyens à renoncer cette année à la célébration du sacrifice. L’état alarmant du cheptel national, conjugué à la sévérité de la sécheresse, impose une conduite empreinte de sagesse et de solidarité.
Les mesures prises visent à encadrer fermement le territoire contre toute tentative d’organisation parallèle ou de commerce illicite. Elles ont pour objectif d’endiguer les risques sanitaires, d’éviter les tensions sociales et de préserver un ordre public fragile en ces temps de crise environnementale aiguë.
Cette décision, bien que lourde de portée symbolique pour un peuple profondément attaché à ses traditions, traduit une posture d’État exemplaire : celle d’un Royaume qui place la résilience collective et la préservation des équilibres vitaux au-dessus des rites, aussi sacrés soient-ils. En cela, elle incarne un appel à l’unité et à la responsabilité nationale face aux défis climatiques et économiques contemporains.