Les récents commentaires de la classe politique et des dirigeants israéliens, selon lesquels ils prévoient d'étendre l'offensive militaire à Gaza avec la fin de la trêve humanitaire, sont "profondément inquiétants", a déclaré ce mardi le bureau des droits de l'Homme de l'ONU.
Itamar Ben-Gvir, ministre israélien de la Sécurité nationale, a menacé mardi de dissoudre le gouvernement israélien en cas d’arrêt de la guerre contre la bande de Gaza.
"Les commentaires des dirigeants politiques et militaires israéliens, ces derniers jours, selon lesquels ils envisagent d’étendre et d’intensifier l’offensive militaire à travers Gaza après la trêve, sont profondément inquiétants" a déclaré à Anadolu Marta Hurtado, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme.
Elle a exhorté toutes les parties au conflit, ainsi que les États influents, à profiter de la pause humanitaire actuelle "pour œuvrer à un cessez-le-feu total, dans le respect des droits de l'Homme et pour des raisons humanitaires".
Il y avait eu un "répit important" après "l'enfer" des sept dernières semaines pour les civils à Gaza, et certaines familles ont retrouvé leurs proches, a déclaré Hurtado, et d’ajouter qu’"Il faut faire beaucoup plus".
"La protection des civils doit être la priorité absolue", a-t-elle souligné.
Les responsables israéliens ont déclaré qu'à la fin de la pause humanitaire à Gaza, qui en est maintenant à son cinquième jour, et qui devrait encore durer un autre jour, l'armée allait reprendre son offensive militaire contre l'enclave palestinienne.
Itamar Ben-Gvir, ministre israélien de la Sécurité nationale, a menacé mardi de dissoudre le gouvernement israélien en cas d’arrêt de la guerre contre la bande de Gaza.
"Les commentaires des dirigeants politiques et militaires israéliens, ces derniers jours, selon lesquels ils envisagent d’étendre et d’intensifier l’offensive militaire à travers Gaza après la trêve, sont profondément inquiétants" a déclaré à Anadolu Marta Hurtado, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme.
Elle a exhorté toutes les parties au conflit, ainsi que les États influents, à profiter de la pause humanitaire actuelle "pour œuvrer à un cessez-le-feu total, dans le respect des droits de l'Homme et pour des raisons humanitaires".
Il y avait eu un "répit important" après "l'enfer" des sept dernières semaines pour les civils à Gaza, et certaines familles ont retrouvé leurs proches, a déclaré Hurtado, et d’ajouter qu’"Il faut faire beaucoup plus".
"La protection des civils doit être la priorité absolue", a-t-elle souligné.
Les responsables israéliens ont déclaré qu'à la fin de la pause humanitaire à Gaza, qui en est maintenant à son cinquième jour, et qui devrait encore durer un autre jour, l'armée allait reprendre son offensive militaire contre l'enclave palestinienne.
