Le service médiatique des autorités dans la bande de Gaza a annoncé, mercredi, que Le bilan des Palestiniens tués dans les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza s'est alourdi à 14.532 morts, dont plus de 6.000 enfants et 4.000 femmes, depuis le 7 octobre dernier.
Le dernier bilan, rendu public par la même source, date du mardi soir, où "le bilan des martyrs a atteint plus de 14.128, dont plus de 5.840 enfants et 3.920 femmes".
La même source a déclaré au soir du mercredi, dans un communiqué rendu public sur Telegram "que le bilan de victimes a atteint plus de 14.532 martyrs, dont plus de 6.000 enfants et 4.000 femmes. Cela signifie que 69% des martyrs étaient des femmes et des enfants".
"Le bilan des martyrs parmi le personnel médical a atteint les 205 médecins, infirmières et ambulanciers, 25 pompiers de la défense civile et 64 journalistes, alors que le bilan des blessés a dépassé 35.000, dont plus de 75% sont des femmes et des enfants", a détaillé le service médiatique.
Concernant le bilan des bâtiments du gouvernement et des unités résidentielles, le communiqué indique que "le nombre de bâtiments du gouvernement détruits a atteint les 102, 266 écoles, dont 67 écoles mises hors service, alors que 85 mosquées ont été complètement détruites, et 174 autres partiellement endommagées, en plus du ciblage de 3 églises".
Le dernier bilan, rendu public par la même source, date du mardi soir, où "le bilan des martyrs a atteint plus de 14.128, dont plus de 5.840 enfants et 3.920 femmes".
La même source a déclaré au soir du mercredi, dans un communiqué rendu public sur Telegram "que le bilan de victimes a atteint plus de 14.532 martyrs, dont plus de 6.000 enfants et 4.000 femmes. Cela signifie que 69% des martyrs étaient des femmes et des enfants".
"Le bilan des martyrs parmi le personnel médical a atteint les 205 médecins, infirmières et ambulanciers, 25 pompiers de la défense civile et 64 journalistes, alors que le bilan des blessés a dépassé 35.000, dont plus de 75% sont des femmes et des enfants", a détaillé le service médiatique.
Concernant le bilan des bâtiments du gouvernement et des unités résidentielles, le communiqué indique que "le nombre de bâtiments du gouvernement détruits a atteint les 102, 266 écoles, dont 67 écoles mises hors service, alors que 85 mosquées ont été complètement détruites, et 174 autres partiellement endommagées, en plus du ciblage de 3 églises".
45.000 unités rasées et 233.000 unités partiellement détruites
"Le bilan des habitations qui ont été totalement rasées a atteint les 45.000 unités, en plus de 233.000 unités partiellement détruites. 26 hôpitaux et 55 centres de soins sont désormais hors-service. L'occupation israélienne a également ciblé 56 ambulances, et des dizaines d’autres ambulances sont hors service à cause du manque de carburant", a ajouté la même source.
Le communiqué a souligné que "les marchés et les magasins subissent une pénurie des divers approvisionnements en produits de base et en denrées alimentaires. Cela s'est accompagné de l'arrêt complet des boulangeries et de l'absence de centaines denrées alimentaires sur les marchés".
Concernant l'accord de trêve entre Israël et le mouvement Hamas, le bureau gouvernemental a déclaré : "Nous appelons les pays arabes et islamiques à œuvrer sérieusement à l’ouverture du point de passage de Rafah et à ravitailler tous les hôpitaux des gouvernorats de la bande de Gaza avec les fournitures médicales nécessaires à la reprise de leurs activités".
Le service médiatique a tenu "l'occupation israélienne et la communauté internationale pour entièrement responsables des crimes actuels dans le cadre de la guerre israélienne dans la bande de Gaza, et nous appelons les pays du monde libre à libérer les hôpitaux et à faire pression pour mettre un terme à cette guerre et à ces crimes".
À l'aube du mercredi, le ministère qatari des Affaires étrangères a annoncé qu'un accord de trêve humanitaire avait été conclu dans la bande de Gaza, entre Israël et le mouvement Hamas, grâce à une médiation conjointe avec l'Égypte et les États-Unis.
Selon un communiqué de la diplomatie qatarie, l'accord prévoit, dans un premier temps, l'échange de 50 prisonniers israéliens, dont des femmes et des enfants civils, détenus dans la bande de Gaza, en échange de la libération d'un certain nombre de femmes et d'enfants palestiniens détenus dans les prisons israéliennes, à condition que le nombre de personnes libérées soit augmenté au cours des étapes ultérieures de l’application de l’accord.
La bande de Gaza est "l'endroit le plus dangereux" au monde pour un enfant
Des milliers d'enfants palestiniens ont été tués dans les attaques israéliennes contre la bande de Gaza, a déclaré un responsable de l'ONU, ce mercredi, qualifiant Gaza d'"endroit le plus dangereux au monde pour un enfant".
"Plus de 5.300 enfants palestiniens ont été tués en seulement 46 jours... soit plus de 115 par jour, pendant des semaines. D'après ces chiffres, les enfants représentent 40% des décès à Gaza. C'est sans précédent", s’est alarmé le responsable onusien.
"En d'autres termes, la bande de Gaza est l'endroit le plus dangereux au monde pour un enfant", a affirmé Catherine Russell, directrice exécutive du Fonds international d'urgence pour l'enfance (UNICEF), lors de la réunion d'information du Conseil de sécurité de l'ONU sur la protection des enfants à Gaza.
Russell a déclaré que les enfants de Gaza courent un "risque extrême" à cause des conditions de vie catastrophiques, en plus des bombes, des roquettes et des tirs.
"Les effets de la violence perpétrée sur les enfants ont été catastrophiques, aveugles et disproportionnés", a-t-elle déclaré, soulignant que les pauses humanitaires ne sont "tout simplement pas suffisantes".
"Nous craignons qu'une nouvelle escalade militaire dans le sud de Gaza n'aggrave de façon exponentielle la situation humanitaire là-bas... provoquant plus de déplacements... et enfermant la population civile dans une zone encore plus petite. Les attaques contre le sud doivent être évitées", a-t-elle alerté.
"Plus de 5.300 enfants palestiniens ont été tués en seulement 46 jours... soit plus de 115 par jour, pendant des semaines. D'après ces chiffres, les enfants représentent 40% des décès à Gaza. C'est sans précédent", s’est alarmé le responsable onusien.
"En d'autres termes, la bande de Gaza est l'endroit le plus dangereux au monde pour un enfant", a affirmé Catherine Russell, directrice exécutive du Fonds international d'urgence pour l'enfance (UNICEF), lors de la réunion d'information du Conseil de sécurité de l'ONU sur la protection des enfants à Gaza.
Russell a déclaré que les enfants de Gaza courent un "risque extrême" à cause des conditions de vie catastrophiques, en plus des bombes, des roquettes et des tirs.
"Les effets de la violence perpétrée sur les enfants ont été catastrophiques, aveugles et disproportionnés", a-t-elle déclaré, soulignant que les pauses humanitaires ne sont "tout simplement pas suffisantes".
"Nous craignons qu'une nouvelle escalade militaire dans le sud de Gaza n'aggrave de façon exponentielle la situation humanitaire là-bas... provoquant plus de déplacements... et enfermant la population civile dans une zone encore plus petite. Les attaques contre le sud doivent être évitées", a-t-elle alerté.
