« Cette édition de la Coupe du Monde U17 sera exceptionnelle à plus d’un titre. (…) Elle représente également pour nous une nouvelle occasion de tester le soutien vidéo. Cela nous permettra d’affiner ce système sur la base des retours que nous avons eus précédemment », a déclaré Pierluigi Collina, président de la Commission des arbitres de la FIFA.
Une technologie plus accessible
Contrairement à la VAR, le soutien vidéo :
- Ne requiert pas la présence d’un arbitre dédié.
- Ne s’applique pas automatiquement à toutes les actions litigieuses.
Fonctionnement et limites
Les vérifications interviennent uniquement à la demande des entraîneurs (les joueurs eux-mêmes peuvent suggérer à leur coach de demander l’analyse) lorsqu’ils estiment qu’une erreur manifeste a été commise.
Quatre situations sont concernées :
Les vérifications interviennent uniquement à la demande des entraîneurs (les joueurs eux-mêmes peuvent suggérer à leur coach de demander l’analyse) lorsqu’ils estiment qu’une erreur manifeste a été commise.
Quatre situations sont concernées :
- La validation d’un but,
- L’attribution d’un penalty,
- Un carton rouge direct,
- Une erreur d’identité d’un joueur.
Le nombre de demandes d’analyse est limité, obligeant les équipes à les utiliser avec discernement.
Objectif : renforcer l’équité
La FIFA entend offrir aux arbitres une assistance adaptée aux réalités techniques et financières de nombreuses fédérations, tout en garantissant davantage d’équité sportive.
Objectif : renforcer l’équité
La FIFA entend offrir aux arbitres une assistance adaptée aux réalités techniques et financières de nombreuses fédérations, tout en garantissant davantage d’équité sportive.