Cette séquence, documentée dans des vidéos abondamment partagées sur les réseaux sociaux, a déclenché une vague d’indignation. Sur la plateforme X, (ex Twitter), de nombreux internautes ont exprimé leur soutien à l'étudiante, en saluant son courage et dénonçant l'attitude du doyen, jugée discriminatoire.
Des hashtags tels que #SolidaritéAvecLÉtudiante et #KeffiehPasCrime ont largement circulé sur la toile. En parallèle, sur Facebook, la photo de l'étudiante a été abondamment partagée avec des messages de soutien.
En gros, les réactions déchaînées ont vivement condamné l'attitude du doyen, qualifiée d'inacceptable, d'illégale et d'attentatoire à la liberté d'expression. Certains internautes ont défendu le droit de l'étudiante à porter le keffieh, tandis que d'autres ont jugé qu’il est préférable de respecter la neutralité politique dans les universités.
Cet incident survient dans un contexte particulier marqué par la guerre à Gaza où les massacres de l’Armée israélienne sont dénoncée par vague de solidarité avec le peuple palestinien.