Dans la foulée de la hause des prix des céréales sur le marché mondial, les boulangers s’attachent à la possibilité d’augmenter le prix du pain s’il ne reçoivent pas le soutien du gouvernement. C’est en tout cas ce que confirme Nourredine Lafif, président de La Fédération Nationale de la Boulangerie et Pâtisserie du Maroc. Dans une déclaration à L’Opinion, ce dernier a rappelé que le prix du pain n’est pas directement subventionné par l’Etat, au moment où le coût de production n’est plus le même qu’auparavant.
“Nous attendons avec impatience un dialogue avec le gouvernement pour discuter des mesures susceptibles de soutenir notre secteur”, explique notre interlocuteur, ajoutant que les boulangers ne sont plus attachés au prix de référence de 1,20 dirhams. Ces derniers allèguent la loi sur les prix et la concurrence pour justifier leur affranchissent du prix de référence.
En effet, le gouvernement a augmenter le budget de compensation des prix de la farine nationale de blé tendre et ses dérivés. Le Porte-Parole du gouvernement, Mustapha Baitas avait fait savoir, le 10 février 2022, que l’Exécutif dépense 50 millions de dirhams chaque mois pour maintenir le prix du pain à son niveau actuel.
De leur côté, les boulangers, en tout cas ceux affilés à la fédération, revendiquent un soutien spécifique à leur secteur en plus d’un contrat programme.
“Nous attendons avec impatience un dialogue avec le gouvernement pour discuter des mesures susceptibles de soutenir notre secteur”, explique notre interlocuteur, ajoutant que les boulangers ne sont plus attachés au prix de référence de 1,20 dirhams. Ces derniers allèguent la loi sur les prix et la concurrence pour justifier leur affranchissent du prix de référence.
En effet, le gouvernement a augmenter le budget de compensation des prix de la farine nationale de blé tendre et ses dérivés. Le Porte-Parole du gouvernement, Mustapha Baitas avait fait savoir, le 10 février 2022, que l’Exécutif dépense 50 millions de dirhams chaque mois pour maintenir le prix du pain à son niveau actuel.
De leur côté, les boulangers, en tout cas ceux affilés à la fédération, revendiquent un soutien spécifique à leur secteur en plus d’un contrat programme.
