Il s’agit du dinosaure qu’on peut voir terrasser un T-Rex (excusez du peu) dans Jurassic Parc. Après avoir cru que le Spinosaurus était un prédateur terrestre, puis pensé qu’il était plutôt semi-aquatique, voici que les scientifiques découvrent des preuves qui le classent dans la famille des « aquatiques ». Il faut ainsi imaginer le spinosorus évoluant dans les rivières et se nourrissant essentiellement de poissons (d'un autre âge). Le Spinosaurusa egyptiacus, avait une longue queue de forme inattendue et unique, composée d'épines neurales extrêmement hautes et de chevrons allongés formant un grand organe flexible en forme de nageoire capable de grande ondulation latérale.
Les résultats de cette découverte ont été publiés le 29 avril dernier dans la revue scientifique "Nature" et font l'objet d'un documentaire sur le site web de National Geographic Society. Ses auteurs sont issus de l'Université Hassan II de Casablanca, de l'Université de Mercy (USA), de l'Université de Portsmouth (Angleterre) et du Musée des Sciences naturelles de Milan (Italie). Les nouveaux fossiles du spinosaure marocain, découverts dans le site de Zrigat à une trentaine de kilomètres de la ville d’Erfoud, "fournissent les preuves les plus convaincantes à ce jour à propos d'un dinosaure en mesure de vivre et de chasser dans un environnement aquatique" précise le professeur Samir Zouhri, du département de géologie à la Faculté des sciences d'Ain Chock à Casablanca et un des auteurs de l’étude.
Les résultats de cette découverte ont été publiés le 29 avril dernier dans la revue scientifique "Nature" et font l'objet d'un documentaire sur le site web de National Geographic Society. Ses auteurs sont issus de l'Université Hassan II de Casablanca, de l'Université de Mercy (USA), de l'Université de Portsmouth (Angleterre) et du Musée des Sciences naturelles de Milan (Italie). Les nouveaux fossiles du spinosaure marocain, découverts dans le site de Zrigat à une trentaine de kilomètres de la ville d’Erfoud, "fournissent les preuves les plus convaincantes à ce jour à propos d'un dinosaure en mesure de vivre et de chasser dans un environnement aquatique" précise le professeur Samir Zouhri, du département de géologie à la Faculté des sciences d'Ain Chock à Casablanca et un des auteurs de l’étude.
Les fossiles du spinosaure ainsi récoltés dans le gisement de Zrigat ont fait l'objet d'une étude multidisciplinaire doublée d'un minutieux travail de consolidation et de restauration. Une fois restaurés, les éléments squelettiques les plus intéressants pour l’étude ont fait l’objet de la photogrammétrie pour obtenir des modèles 3D de ces ossements.
Les résultats que cette nouvelle recherche apporte à la science constituent les premières preuves non ambiguës d'une structure de propulsion aquatique confirmant la série d'adaptations pour un mode de vie aquatique et un régime piscivore du Spinosaurus. Ces adaptations au milieu aquatique se retrouvent également chez d’autres spinosauridés et documentent une occupation importante des environnements aquatiques par les dinosaures, ce qui a été longtemps réfuté par la plupart des spécialistes de dinosaures.
Les résultats que cette nouvelle recherche apporte à la science constituent les premières preuves non ambiguës d'une structure de propulsion aquatique confirmant la série d'adaptations pour un mode de vie aquatique et un régime piscivore du Spinosaurus. Ces adaptations au milieu aquatique se retrouvent également chez d’autres spinosauridés et documentent une occupation importante des environnements aquatiques par les dinosaures, ce qui a été longtemps réfuté par la plupart des spécialistes de dinosaures.