Le moins que l’on puisse dire, c’est que la cérémonie d’ouverture, solennellement présidée par SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a été à la hauteur des standards internationaux, rendant hommage à l’unité, à l’identité et à la résilience du football africain. Un spectacle qui a offert un voyage immersif et chorégraphié, où des jeux de lumière saisissants ont servi de fil conducteur entre les cultures, les générations et les rêves.
Ce lancement a également été marqué par la victoire des Lions de l’Atlas, portée par un coup de ciseaux aussi spectaculaire qu’improbable d’El Kaâbi, inscrivant ainsi le Maroc dans le cercle restreint des nations ayant remporté leur match d’ouverture à domicile. Bien sûr, quelques bémols ont accompagné cette soirée, notamment des gradins partiellement vides, alors même que des milliers de supporters peinaient à se procurer des billets. Il revient toutefois à la CAF et aux autorités de jouer pleinement leur rôle de garde-fou en luttant contre les « Chenna9a » (intermédiaires) qui faussent le système de billetterie. Mais au-delà du premier match, ces premiers jours de compétition ont surtout mis en lumière la capacité du Royaume à gérer de manière exemplaire l’afflux massif des équipes et de leurs supporters, dont plusieurs sont devenus des ambassadeurs du Maroc. Sur les réseaux sociaux, les joueurs partagent des stories d’un accueil chaleureux, souvent personnalisé selon les cultures et les contextes. Les fans, eux, arpentent les rues, découvrent les infrastructures, apprécient les services et rencontrent un peuple qu’ils ne connaissaient jusque-là que de loin.
C’est pour dire que pour chaque Marocain, cette Coupe d’Afrique des Nations dépasse le cadre d’une simple compétition sportive, car elle représente une occasion de déconstruire certains stéréotypes, de démontrer qu’en Afrique on peut toujours faire mieux, et de saisir une opportunité unique pour promouvoir le tourisme, l’artisanat et l’ensemble des secteurs qui font la richesse et la beauté du Maroc.
Ce lancement a également été marqué par la victoire des Lions de l’Atlas, portée par un coup de ciseaux aussi spectaculaire qu’improbable d’El Kaâbi, inscrivant ainsi le Maroc dans le cercle restreint des nations ayant remporté leur match d’ouverture à domicile. Bien sûr, quelques bémols ont accompagné cette soirée, notamment des gradins partiellement vides, alors même que des milliers de supporters peinaient à se procurer des billets. Il revient toutefois à la CAF et aux autorités de jouer pleinement leur rôle de garde-fou en luttant contre les « Chenna9a » (intermédiaires) qui faussent le système de billetterie. Mais au-delà du premier match, ces premiers jours de compétition ont surtout mis en lumière la capacité du Royaume à gérer de manière exemplaire l’afflux massif des équipes et de leurs supporters, dont plusieurs sont devenus des ambassadeurs du Maroc. Sur les réseaux sociaux, les joueurs partagent des stories d’un accueil chaleureux, souvent personnalisé selon les cultures et les contextes. Les fans, eux, arpentent les rues, découvrent les infrastructures, apprécient les services et rencontrent un peuple qu’ils ne connaissaient jusque-là que de loin.
C’est pour dire que pour chaque Marocain, cette Coupe d’Afrique des Nations dépasse le cadre d’une simple compétition sportive, car elle représente une occasion de déconstruire certains stéréotypes, de démontrer qu’en Afrique on peut toujours faire mieux, et de saisir une opportunité unique pour promouvoir le tourisme, l’artisanat et l’ensemble des secteurs qui font la richesse et la beauté du Maroc.





















