Dans son analyse, Mme Fatiha estime qu’il faut aider la Côte d’Ivoire à mieux se vendre. Ce qui doit commencer par la création d’un annuaire touristique pour faciliter la reconnaissance des établissements hôteliers. Cette démarche pourrait se consolider par la signature d’accords de partenariats avec des pays étrangers, notamment le Maroc, la Tunisie ou l’Egypte.
L’objectif de ces accords sera de profiter de l’expérience de ces pays où le tourisme est l’une des premières sources de revenu mais faciliter des stages de formation et les techniques hôtelières pour la valorisation du tourisme interne. « Ainsi nous pourrons en faire une véritable activité économique créatrice d'emplois et génératrice d’importants revenus qui pourrait relancer la croissance économique », dit-elle.
Elle fait remarquer, par ailleurs, qu’il est temps de faire l’effort d’exploiter les plages splendides non encore répertoriées. « C'est dommage, car je pense que beaucoup de touristes seraient séduits par ces magnifiques plages de sables et reviendraient souvent en Côte d’Ivoire », fait-elle remarquer avant d’ajouter qu’il faut soutenir les investisseurs et les capitaux privés, les aider à s’installer en Côte d’Ivoire.
Encourager les investissements étrangers
Sous le même angle, le pays doit réinvestir dans le réseau routier et agrandir l’aéroport de San Pedro pour que les charters puissent y atterrir directement dans le souci de permettre aux villes de l’intérieur d’être reliées à la France, l’Espagne, l’Italie, le Royaume-Uni, la Belgique et la Suisse, etc. Il s’agit d’une stratégie pour atteindre le quota demandé par l’OMT (500 000 touristes étrangers en Côte d’Ivoire). Ce qui consistera en la création d’une opération Open Sky (ciel ouvert). On peut aussi créer une zone franche dans cette ville pour attirer plus d’investisseurs étrangers afin de doper l’activité touristique et, par ricochet, l’activité économique.
Naturellement, les réseaux sociaux seront mis à contribution pour une meilleure visibilité notamment le recours à l’Internet. Parallèlement, l’Etat doit encourager les compagnies aériennes notamment les charters et low-cost à faire leur entrée dans le ciel en vertu de la libéralisation du secteur aérien en 2004 sans oublier l’organisation des festivals comme celui de la musique, le Festival international du film, la Semaine ivoirienne de gastronomie, le Carnaval des masques des régions.
Enfin Mme Fatiha propose de lancer de nouveaux produits touristiques comme le thermalisme. En la matière, la Côte d’Ivoire dispose de plusieurs sources thermales comme la station de Bonoua qui peut favoriser la création d'un établissement médical de niveau international et selon des normes modernes. Ce n’est pas les curistes qui manquent (proposer des cures de 3 jours. « Et je serais la 1ere cliente », souligne-t-elle.
L’objectif de ces accords sera de profiter de l’expérience de ces pays où le tourisme est l’une des premières sources de revenu mais faciliter des stages de formation et les techniques hôtelières pour la valorisation du tourisme interne. « Ainsi nous pourrons en faire une véritable activité économique créatrice d'emplois et génératrice d’importants revenus qui pourrait relancer la croissance économique », dit-elle.
Elle fait remarquer, par ailleurs, qu’il est temps de faire l’effort d’exploiter les plages splendides non encore répertoriées. « C'est dommage, car je pense que beaucoup de touristes seraient séduits par ces magnifiques plages de sables et reviendraient souvent en Côte d’Ivoire », fait-elle remarquer avant d’ajouter qu’il faut soutenir les investisseurs et les capitaux privés, les aider à s’installer en Côte d’Ivoire.
Encourager les investissements étrangers
Sous le même angle, le pays doit réinvestir dans le réseau routier et agrandir l’aéroport de San Pedro pour que les charters puissent y atterrir directement dans le souci de permettre aux villes de l’intérieur d’être reliées à la France, l’Espagne, l’Italie, le Royaume-Uni, la Belgique et la Suisse, etc. Il s’agit d’une stratégie pour atteindre le quota demandé par l’OMT (500 000 touristes étrangers en Côte d’Ivoire). Ce qui consistera en la création d’une opération Open Sky (ciel ouvert). On peut aussi créer une zone franche dans cette ville pour attirer plus d’investisseurs étrangers afin de doper l’activité touristique et, par ricochet, l’activité économique.
Naturellement, les réseaux sociaux seront mis à contribution pour une meilleure visibilité notamment le recours à l’Internet. Parallèlement, l’Etat doit encourager les compagnies aériennes notamment les charters et low-cost à faire leur entrée dans le ciel en vertu de la libéralisation du secteur aérien en 2004 sans oublier l’organisation des festivals comme celui de la musique, le Festival international du film, la Semaine ivoirienne de gastronomie, le Carnaval des masques des régions.
Enfin Mme Fatiha propose de lancer de nouveaux produits touristiques comme le thermalisme. En la matière, la Côte d’Ivoire dispose de plusieurs sources thermales comme la station de Bonoua qui peut favoriser la création d'un établissement médical de niveau international et selon des normes modernes. Ce n’est pas les curistes qui manquent (proposer des cures de 3 jours. « Et je serais la 1ere cliente », souligne-t-elle.