Selon l’agence de presse espagnole EFE, plus de 133 000 personnes vivant dans les camps du sud algérien dépendent de l’aide internationale depuis près de cinquante ans (un demi-siècle). Pourtant, les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes continuent de souffrir de malnutrition sévère, une situation qui suscite des doutes et des soupçons quant aux mécanismes de distribution de l’aide humanitaire et à sa transparence.
Cependant, ce qui est inquiétant et complique encore davantage la situation, ce sont les rapports de terrain diffusés par des observateurs internationaux et des organisations de défense des droits humains.
Ces rapports contiennent des informations confirmées indiquant que les camps abritent non seulement des Sahraouis, mais aussi des milliers de non-Sahraouis originaires de pays africains voisins, qui bénéficient également de l’aide humanitaire, initialement destinée exclusivement aux Sahraouis.
Cette confusion sur l’identité des résidents et la présentation frauduleuse de leurs données et origines rendent nécessaire et urgente la vérification du nombre réel de bénéficiaires, une demande constante des habitants des camps de Tindouf.
Ces demandes ont été transmises aux organisations internationales et à la société civile, mais la responsabilité directe de cette grave situation incombe aux autorités algériennes, qui hébergent ces camps sans permettre un recensement précis et transparent.
Elles inondent délibérément les camps de personnes de diverses nationalités, les présentant comme Sahraouis, afin de diluer la question et d’empêcher toute solution visant à mettre fin au conflit artificiel autour du Sahara.
Alors que l’Union européenne, emmenée par l’Espagne, principal contributeur, continue de fournir des fonds sous couvert de responsabilité humanitaire, le débat s’intensifie quant à savoir si ces ressources parviennent réellement à ceux qui les méritent.
Il existe de plus en plus d’éléments prouvant que la majeure partie de ces ressources est perdue dans le labyrinthe de la corruption et de la mauvaise gestion exercée par les membres du gang dirigeant du Front Polisario, créant une situation anormale qui maintient le contrôle de ce gang sur les camps de Tindouf, au lieu de contribuer à la survie de la population des camps.
Cependant, ce qui est inquiétant et complique encore davantage la situation, ce sont les rapports de terrain diffusés par des observateurs internationaux et des organisations de défense des droits humains.
Ces rapports contiennent des informations confirmées indiquant que les camps abritent non seulement des Sahraouis, mais aussi des milliers de non-Sahraouis originaires de pays africains voisins, qui bénéficient également de l’aide humanitaire, initialement destinée exclusivement aux Sahraouis.
Cette confusion sur l’identité des résidents et la présentation frauduleuse de leurs données et origines rendent nécessaire et urgente la vérification du nombre réel de bénéficiaires, une demande constante des habitants des camps de Tindouf.
Ces demandes ont été transmises aux organisations internationales et à la société civile, mais la responsabilité directe de cette grave situation incombe aux autorités algériennes, qui hébergent ces camps sans permettre un recensement précis et transparent.
Elles inondent délibérément les camps de personnes de diverses nationalités, les présentant comme Sahraouis, afin de diluer la question et d’empêcher toute solution visant à mettre fin au conflit artificiel autour du Sahara.
Alors que l’Union européenne, emmenée par l’Espagne, principal contributeur, continue de fournir des fonds sous couvert de responsabilité humanitaire, le débat s’intensifie quant à savoir si ces ressources parviennent réellement à ceux qui les méritent.
Il existe de plus en plus d’éléments prouvant que la majeure partie de ces ressources est perdue dans le labyrinthe de la corruption et de la mauvaise gestion exercée par les membres du gang dirigeant du Front Polisario, créant une situation anormale qui maintient le contrôle de ce gang sur les camps de Tindouf, au lieu de contribuer à la survie de la population des camps.