Des acteurs écologiques, institutionnels et de la société civile ont appelé, mercredi, à conserver l'écosystème du parc national de khnifiss et son cœur palpitant la lagune de Naïla, en veillant à impliquer la population locale dans les efforts de développement et de gestion rationnelle des ressources que recèle le parc.
Lors d’une sortie écologique à la lagune de Naïla, organisée par le Réseau Association Khnifiss, en célébration de la Journée mondiale des zones humides, placée cette année sous le signe "Il est urgent de restaurer les zones humides", les acteurs écologiques associatifs ont émis une série de propositions permettant aux différentes parties prenantes de mettre en place une démarche participative, afin de relever les défis auxquels sont confrontés l'écosystème et la biodiversité dans la lagune.
De même, les acteurs associatifs ont débattu de la préservation des espaces naturels et de la lutte contre les dangers qui menacent les écosystèmes de la lagune de Naïla, classée site RAMSAR.
Dans une allocution, le président du Réseau, Salek Aouissa a souligné qu’il est plus urgent que jamais de sauvegarder la biodiversité, tout en veillant à impliquer la population locale dans les efforts de développement local et de gestion rationnelle des ressources que recèle le parc, relevant que la lagune de Khnifiss est un site d’intérêt biologique et écologique (SIBE) classé parc national en 2006.
Pour sa part, le chef du service d'animation et de partenariat par Intérim à la direction régionale de l’Agence Nationale des Eaux et Forêts (ANEF), Ali Salem Cheikhi a indiqué que le parc national de khnifiss abrite plusieurs espèces d’oiseaux, de plantes, de mammifères et d’algues, en plus de composantes naturelles et de systèmes écologiques diversifiés, ce qui en fait un site d’importance biologique et écologique.
Conformément aux orientations de la stratégie "Forêts du Maroc 2020/2030", l'ANEF encourage l’écotourisme et veille à la conciliation entre la préservation des ressources naturelles, la sauvegarde de la biodiversité et la gestion durable du parc, selon une approche participative en concertation avec les acteurs locaux, a-t-il fait savoir.
Le parc national de khnifiss à 180 km au nord-ouest de la ville de Laâyoune, recèle d’importants paysages naturels et de diverses espèces animalières et végétales.
Lors d’une sortie écologique à la lagune de Naïla, organisée par le Réseau Association Khnifiss, en célébration de la Journée mondiale des zones humides, placée cette année sous le signe "Il est urgent de restaurer les zones humides", les acteurs écologiques associatifs ont émis une série de propositions permettant aux différentes parties prenantes de mettre en place une démarche participative, afin de relever les défis auxquels sont confrontés l'écosystème et la biodiversité dans la lagune.
De même, les acteurs associatifs ont débattu de la préservation des espaces naturels et de la lutte contre les dangers qui menacent les écosystèmes de la lagune de Naïla, classée site RAMSAR.
Dans une allocution, le président du Réseau, Salek Aouissa a souligné qu’il est plus urgent que jamais de sauvegarder la biodiversité, tout en veillant à impliquer la population locale dans les efforts de développement local et de gestion rationnelle des ressources que recèle le parc, relevant que la lagune de Khnifiss est un site d’intérêt biologique et écologique (SIBE) classé parc national en 2006.
Pour sa part, le chef du service d'animation et de partenariat par Intérim à la direction régionale de l’Agence Nationale des Eaux et Forêts (ANEF), Ali Salem Cheikhi a indiqué que le parc national de khnifiss abrite plusieurs espèces d’oiseaux, de plantes, de mammifères et d’algues, en plus de composantes naturelles et de systèmes écologiques diversifiés, ce qui en fait un site d’importance biologique et écologique.
Conformément aux orientations de la stratégie "Forêts du Maroc 2020/2030", l'ANEF encourage l’écotourisme et veille à la conciliation entre la préservation des ressources naturelles, la sauvegarde de la biodiversité et la gestion durable du parc, selon une approche participative en concertation avec les acteurs locaux, a-t-il fait savoir.
Le parc national de khnifiss à 180 km au nord-ouest de la ville de Laâyoune, recèle d’importants paysages naturels et de diverses espèces animalières et végétales.