
Face à l’urgence climatique et à la dégradation des écosystèmes, le Maroc accélère la mise en œuvre de sa politique environnementale. Une réponse construite sur des fondements stratégiques, juridiques et opérationnels. La ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, a détaillé les mesures engagées par son département en réponse à une question parlementaire, soulignant l’importance d’adapter les politiques nationales aux défis actuels.
Adoptée en 2017 sous la présidence effective de SM le Roi Mohammed VI, la stratégie nationale de développement durable a connu une première phase de mise en œuvre de quatre ans. Selon Benali, elle a depuis été actualisée pour intégrer les orientations du nouveau modèle de développement et respecter les engagements pris au niveau mondial, notamment l’Accord de Paris sur le climat et l’Agenda 2030 des Nations Unies avec ses 17 objectifs de développement durable.
En attendant l’adoption formelle de la version actualisée de cette stratégie, le ministère poursuit la mise en œuvre des politiques environnementales en concertation avec l’ensemble des parties prenantes. Cette démarche vise à renforcer la gouvernance en matière de développement durable, dans la continuité de la régionalisation avancée et de la charte de déconcentration.
La ministre a insisté sur l’importance d’un arsenal juridique solide et d’institutions qualifiées. Son département s’attache à améliorer la surveillance environnementale, à coordonner avec les instances compétentes, à qualifier le laboratoire national de suivi de la pollution et à renforcer les dispositifs de veille et de contrôle.
La lutte contre la pollution atmosphérique figure parmi les priorités. Le ministère œuvre à l’optimisation du réseau national de surveillance de la qualité de l’air et à la réduction des polluants issus de l’industrie, du transport et des activités artisanales. Ces actions sont complétées par des projets de gestion durable des déchets ménagers et assimilés, ainsi que par une meilleure prise en charge des déchets dangereux.
La responsable a mis en avant le rôle des projets pilotes innovants dans la transition écologique. L’objectif est double : stimuler la création d’emplois verts et promouvoir des pratiques respectueuses de l’environnement. En parallèle, des efforts sont déployés pour lutter contre la pollution industrielle et améliorer la gestion des substances chimiques dangereuses. Ces initiatives contribuent également à renforcer l’attractivité du Maroc en tant que pôle d’investissement durable. Elles s’inscrivent dans une dynamique visant à positionner le Royaume comme un acteur régional de référence en matière d’économie verte.
Lutte contre le changement climatique
Adoptée en 2017 sous la présidence effective de SM le Roi Mohammed VI, la stratégie nationale de développement durable a connu une première phase de mise en œuvre de quatre ans. Selon Benali, elle a depuis été actualisée pour intégrer les orientations du nouveau modèle de développement et respecter les engagements pris au niveau mondial, notamment l’Accord de Paris sur le climat et l’Agenda 2030 des Nations Unies avec ses 17 objectifs de développement durable.
En attendant l’adoption formelle de la version actualisée de cette stratégie, le ministère poursuit la mise en œuvre des politiques environnementales en concertation avec l’ensemble des parties prenantes. Cette démarche vise à renforcer la gouvernance en matière de développement durable, dans la continuité de la régionalisation avancée et de la charte de déconcentration.
La ministre a insisté sur l’importance d’un arsenal juridique solide et d’institutions qualifiées. Son département s’attache à améliorer la surveillance environnementale, à coordonner avec les instances compétentes, à qualifier le laboratoire national de suivi de la pollution et à renforcer les dispositifs de veille et de contrôle.
La lutte contre la pollution atmosphérique figure parmi les priorités. Le ministère œuvre à l’optimisation du réseau national de surveillance de la qualité de l’air et à la réduction des polluants issus de l’industrie, du transport et des activités artisanales. Ces actions sont complétées par des projets de gestion durable des déchets ménagers et assimilés, ainsi que par une meilleure prise en charge des déchets dangereux.
La responsable a mis en avant le rôle des projets pilotes innovants dans la transition écologique. L’objectif est double : stimuler la création d’emplois verts et promouvoir des pratiques respectueuses de l’environnement. En parallèle, des efforts sont déployés pour lutter contre la pollution industrielle et améliorer la gestion des substances chimiques dangereuses. Ces initiatives contribuent également à renforcer l’attractivité du Maroc en tant que pôle d’investissement durable. Elles s’inscrivent dans une dynamique visant à positionner le Royaume comme un acteur régional de référence en matière d’économie verte.
Préservation des ressources naturelles
La valorisation et la protection des ressources naturelles restent au cœur des priorités. Parmi les actions engagées figurent la réhabilitation du littoral via le Plan national et les schémas régionaux, la surveillance de la qualité des eaux de baignade et des sables de plages, ainsi que la protection de la biodiversité et la valorisation des ressources génétiques. Le ministère travaille aussi à promouvoir une gestion intégrée des écosystèmes sensibles, en tenant compte des impacts du changement climatique. Ces efforts visent à assurer un équilibre durable entre développement économique et préservation de l’environnement.
Lutte contre le changement climatique
La ministre Leila Benali a rappelé que la lutte contre le dérèglement climatique constitue un axe majeur de la politique nationale. Cela passe par la mise en œuvre du plan national climat et des plans régionaux, la mise à jour des Contributions déterminées au niveau national (CDN) et le suivi du programme bas carbone. Ces actions s’accompagnent d’initiatives de sensibilisation et d’éducation environnementale destinées à ancrer la culture du développement durable auprès des citoyens.