En réponse à une question sur "la réforme globale du Statut général de la fonction publique", lors de la séance hebdomadaire de questions orales, la ministre déléguée a relevé que la mise en œuvre desdites réformes repose, d'une part, sur l'activation de la Charte des services publics et, d'autre part, sur le traitement efficace des problématiques existantes, afin de passer progressivement d'un système de gestion des carrières à un système de gestion des compétences.
À cet égard, Mme Seghrouchni a mis en lumière les différentes modifications apportées dernièrement au statut de la fonction publique, notamment l'instauration d'un congé de paternité rémunéré de 15 jours pour les fonctionnaires à la naissance d'un enfant, et l'octroi d'un congé de maternité aux femmes fonctionnaires assurant la Kafala d'un enfant de moins de 14 semaines, similaire au congé accordé aux fonctionnaires qui viennent d'accoucher. Aussi, elle a rappelé la mise en place d'une pause d'allaitement d'une heure par jour pour les fonctionnaires ayant accouché et celles assurant la Kafala d'un enfant.
Ces nouvelles modifications, a-t-elle ajouté, portent également sur la suppression de la sanction de licenciement assortie de suspension du droit à la pension de retraite, ainsi que le renforcement de la transparence à travers la publication obligatoire des résultats des examens, des concours et des promotions aux sièges des administrations et sur leurs sites Internet.
D'autre part, Mme Segrouchni a fait observer que la loi n° 54-19 portant Charte des services publics a défini un ensemble de principes et de règles de bonne gouvernance qui doivent être adoptés afin d'améliorer l'efficacité du système de service public, y compris les mécanismes modernes de gestion des ressources humaines, tels que les référentiels des emplois et des compétences, les plans de gestion prévisionnelle et les plans de formation.
À cet égard, Mme Seghrouchni a mis en lumière les différentes modifications apportées dernièrement au statut de la fonction publique, notamment l'instauration d'un congé de paternité rémunéré de 15 jours pour les fonctionnaires à la naissance d'un enfant, et l'octroi d'un congé de maternité aux femmes fonctionnaires assurant la Kafala d'un enfant de moins de 14 semaines, similaire au congé accordé aux fonctionnaires qui viennent d'accoucher. Aussi, elle a rappelé la mise en place d'une pause d'allaitement d'une heure par jour pour les fonctionnaires ayant accouché et celles assurant la Kafala d'un enfant.
Ces nouvelles modifications, a-t-elle ajouté, portent également sur la suppression de la sanction de licenciement assortie de suspension du droit à la pension de retraite, ainsi que le renforcement de la transparence à travers la publication obligatoire des résultats des examens, des concours et des promotions aux sièges des administrations et sur leurs sites Internet.
D'autre part, Mme Segrouchni a fait observer que la loi n° 54-19 portant Charte des services publics a défini un ensemble de principes et de règles de bonne gouvernance qui doivent être adoptés afin d'améliorer l'efficacité du système de service public, y compris les mécanismes modernes de gestion des ressources humaines, tels que les référentiels des emplois et des compétences, les plans de gestion prévisionnelle et les plans de formation.



















