L’on rappelle qu’après la victoire de l’équipe nationale marocaine contre le Portugal, en quarts de finale de la Coupe du Monde au Qatar, des incidents ont émaillé les célébrations de cette victoire par les supporters du Onze marocain à Sebta occupée. Un procès a été intenté, sur la foi de vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, qui montrent notamment une altercation entre des agents de l’Unité d’Intervention Rapide (UIR) et deux femmes, ainsi que la scène d’un policier les frappant avec son instrument de défense.
Le tribunal d’instruction a considéré que les deux femmes ont commis un délit mineur de molestation sans blessure, les condamnant à une amende de 6 euros, payable durant 30 jours, ce qui fait un total de 180 euros pour chacune. La condamnation est justifiée par le tribunal par le fait qu’elles ont bousculé les agents.
Le juge considère aussi qu’il y a eu disproportion dans les agissements du sous-inspecteur de l’UIR, du fait qu’il a porté trois coups et sans qu’il s’agisse d’un cas de légitime défense. Pour ces raisons, le policier a été condamné à payer une amende de 300 euros.
La défense des deux femmes a indiqué avoir l’intention de faire appel de la condamnation, tant sur l’amende que pour obtenir un alourdissement de la peine du policier, selon des sources judiciaires confirmées à Ceuta Television.
D’autre part, le déroulement juridique de l’affaire ne s’arrête pas là. Une troisième prévenue impliquée - fille d’une des condamnées - devra comparaître devant le Parquet des mineurs, puisqu’elle n’a pas dix-huit ans révolus.
Le tribunal d’instruction a considéré que les deux femmes ont commis un délit mineur de molestation sans blessure, les condamnant à une amende de 6 euros, payable durant 30 jours, ce qui fait un total de 180 euros pour chacune. La condamnation est justifiée par le tribunal par le fait qu’elles ont bousculé les agents.
Le juge considère aussi qu’il y a eu disproportion dans les agissements du sous-inspecteur de l’UIR, du fait qu’il a porté trois coups et sans qu’il s’agisse d’un cas de légitime défense. Pour ces raisons, le policier a été condamné à payer une amende de 300 euros.
La défense des deux femmes a indiqué avoir l’intention de faire appel de la condamnation, tant sur l’amende que pour obtenir un alourdissement de la peine du policier, selon des sources judiciaires confirmées à Ceuta Television.
D’autre part, le déroulement juridique de l’affaire ne s’arrête pas là. Une troisième prévenue impliquée - fille d’une des condamnées - devra comparaître devant le Parquet des mineurs, puisqu’elle n’a pas dix-huit ans révolus.