Au mythique cinéma Hollywood de Salé, les lumières se sont tamisées, les rideaux se sont levés, et le cinéma au féminin s’est imposé en majesté. La 18ème édition du Festival international du film de femmes (FIFFS), placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a fait sensation dès son ouverture. Programmant des séances ouvertes au grand public jusqu’au 27 septembre, cette manifestation, soutenue par l’Association Bouregreg, s’impose comme un lieu vivant, qui brise les barrières et favorise le dialogue. Elle porte l’ambition de soutenir la condition des femmes, déconstruire les stéréotypes et mettre en lumière les voix féminines dans le 7ème art.
Dès l’ouverture du festival, un moment fort a marqué les esprits avec l’hommage dédié à Souad Nejjar, célébrée pour sa carrière exceptionnelle au cinéma et à la télévision, ainsi qu’à Farah El Fassi, dont le parcours cinématographique remarquable témoigne d’une riche créativité. De même, l’actrice égyptienne Hanan Motawie a été également honorée pour ses créations remarquables dans le domaine du cinéma, de la télévision et du théâtre.
Dans la grande salle de projection, les voix se sont entremêlées aux éclats de youyous fiers et aux larmes de joie partagées, tissant une émotion palpable entre des âmes soudées par une sensibilité profonde. Cet événement a rallumé la flamme intérieure des femmes, un refuge vibrant où elles retrouvent leur essence, libres et en sécurité.
Dans une allocution de circonstance, le président de l’Association Bouregreg, Noureddine Chmaou, a affirmé que « le lancement et la pérennité de ce festival n’auraient pas été possibles sans une équation fondée sur l’ancrage de la culture cinématographique comme l’un des principaux éléments de la culture humaine ».
Pour sa part, la membre du Bureau exécutif de l’Association Bouregreg, Awatif Drihem, a avancé que cet événement cinématographique constitue une plateforme d’échange d’expériences et de savoir-faire au niveau international.
Sublimant l’art au cœur de la culture cinématographique, un hommage a été rendu à la journaliste marocaine Sabah Bendaoud, distinguée pour ses trente années de service au rayonnement de la culture à la radio. Dans une déclaration à « L’Opinion », elle a confié : « C’est un honneur, puisque c’est ma ville natale, une ville où la femme marocaine s’est distinguée à travers l’Histoire dans plusieurs domaines. Ce festival en est la preuve ». « La femme marocaine est désormais présente sur plusieurs fronts, mais elle doit continuer à se battre pour ses droits et faire entendre sa voix, où qu’elle soit », a-t-elle ajouté.
Cette édition s’impose ainsi comme un moment d’exception, vibrant au rythme du renouveau urbain et culturel de Salé, où les nouveaux espaces de projection et l’écran géant, installés au cœur de la vieille ville, transforment la cité en un écrin dédié à l’art et à la liberté d’expression.
Dès l’ouverture du festival, un moment fort a marqué les esprits avec l’hommage dédié à Souad Nejjar, célébrée pour sa carrière exceptionnelle au cinéma et à la télévision, ainsi qu’à Farah El Fassi, dont le parcours cinématographique remarquable témoigne d’une riche créativité. De même, l’actrice égyptienne Hanan Motawie a été également honorée pour ses créations remarquables dans le domaine du cinéma, de la télévision et du théâtre.
Dans la grande salle de projection, les voix se sont entremêlées aux éclats de youyous fiers et aux larmes de joie partagées, tissant une émotion palpable entre des âmes soudées par une sensibilité profonde. Cet événement a rallumé la flamme intérieure des femmes, un refuge vibrant où elles retrouvent leur essence, libres et en sécurité.
Dans une allocution de circonstance, le président de l’Association Bouregreg, Noureddine Chmaou, a affirmé que « le lancement et la pérennité de ce festival n’auraient pas été possibles sans une équation fondée sur l’ancrage de la culture cinématographique comme l’un des principaux éléments de la culture humaine ».
Pour sa part, la membre du Bureau exécutif de l’Association Bouregreg, Awatif Drihem, a avancé que cet événement cinématographique constitue une plateforme d’échange d’expériences et de savoir-faire au niveau international.
Sublimant l’art au cœur de la culture cinématographique, un hommage a été rendu à la journaliste marocaine Sabah Bendaoud, distinguée pour ses trente années de service au rayonnement de la culture à la radio. Dans une déclaration à « L’Opinion », elle a confié : « C’est un honneur, puisque c’est ma ville natale, une ville où la femme marocaine s’est distinguée à travers l’Histoire dans plusieurs domaines. Ce festival en est la preuve ». « La femme marocaine est désormais présente sur plusieurs fronts, mais elle doit continuer à se battre pour ses droits et faire entendre sa voix, où qu’elle soit », a-t-elle ajouté.
Cette édition s’impose ainsi comme un moment d’exception, vibrant au rythme du renouveau urbain et culturel de Salé, où les nouveaux espaces de projection et l’écran géant, installés au cœur de la vieille ville, transforment la cité en un écrin dédié à l’art et à la liberté d’expression.
Films en lice devant un jury d’exception
Point d’orgue du festival, la compétition réunit des films qui seront en lice devant trois jurys prestigieux. Le jury du jeune public, présidé par la talentueuse réalisatrice Fatima Aklaz, incarne la voix des nouvelles générations. À ses côtés, le jury de la compétition documentaire, guidé par la productrice marocaine Annie Ohayon-Dekel, qui s’engage à dénicher les récits réels porteurs de vérité et d’émotion. Enfin, le jury officiel des longs métrages de fiction, sous la houlette de la réalisatrice brésilienne Sandra Kogut.
Tout au long de la semaine, ces projections en compétition seront autant de fenêtres ouvertes sur des mondes multiples, offrant au public une plongée passionnante dans la richesse et la diversité du cinéma contemporain.
Tout au long de la semaine, ces projections en compétition seront autant de fenêtres ouvertes sur des mondes multiples, offrant au public une plongée passionnante dans la richesse et la diversité du cinéma contemporain.