Le rapport a souligné que l’Envoyé personnel a mené des consultations bilatérales informelles avec les différentes parties, sans pour autant réussir à relancer le processus politique afin d’avancer vers une solution pacifique et durable au différend régional autour du Sahara marocain.
Ce blocage est principalement dû au refus de l’Algérie d’assumer sa responsabilité et son rôle en tant que partie principale dans ce différend. Le rapport a indiqué que le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a réaffirmé lors de rencontres avec l’Envoyé personnel en février et avril 2024 que son pays “n'est pas partie” à ce différend.
L'absence de la participation active de l'Algérie complique le processus politique, retarde la recherche d'une solution pacifique et juste et prolonge le statu quo.
Le Secrétaire général de l’ONU a souligné que, pour sa part, le Maroc a réaffirmé sa volonté de relancer le processus des tables rondes, qu’il considère comme une opportunité pour avancer dans le dialogue.
Le rapport se réfère à la rencontre de l’Envoyé personnel, le 4 avril 2024 à Rabat, avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’Etranger, Nasser Bourita, durant laquelle ce dernier a réitéré l'engagement du Maroc en faveur du renforcement du soutien international pour sa vision du règlement du différend, à savoir l’Initiative marocaine d'autonomie, considérée comme la seule solution viable.
M. Guterres a rapporté que l’Envoyé personnel a pu, également, rencontrer de hauts représentants des États-Unis, d'Espagne, d'Afrique du Sud, de Russie, du Royaume-Uni, de France et d'Allemagne, qui ont tous réaffirmé leur soutien aux efforts des Nations Unies pour faciliter une résolution politique au conflit.
Le SG de l’ONU a insisté dans son rapport sur l'importance de poursuivre les efforts diplomatiques à cet effet, soulignant le rôle clé du soutien de la communauté internationale dans ce cadre.
Enfin, le rapport a relevé que l’Envoyé personnel continuera à travailler en étroite collaboration avec toutes les parties pour avancer vers une solution pacifique et durable.
Ce blocage est principalement dû au refus de l’Algérie d’assumer sa responsabilité et son rôle en tant que partie principale dans ce différend. Le rapport a indiqué que le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a réaffirmé lors de rencontres avec l’Envoyé personnel en février et avril 2024 que son pays “n'est pas partie” à ce différend.
L'absence de la participation active de l'Algérie complique le processus politique, retarde la recherche d'une solution pacifique et juste et prolonge le statu quo.
Le Secrétaire général de l’ONU a souligné que, pour sa part, le Maroc a réaffirmé sa volonté de relancer le processus des tables rondes, qu’il considère comme une opportunité pour avancer dans le dialogue.
Le rapport se réfère à la rencontre de l’Envoyé personnel, le 4 avril 2024 à Rabat, avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’Etranger, Nasser Bourita, durant laquelle ce dernier a réitéré l'engagement du Maroc en faveur du renforcement du soutien international pour sa vision du règlement du différend, à savoir l’Initiative marocaine d'autonomie, considérée comme la seule solution viable.
M. Guterres a rapporté que l’Envoyé personnel a pu, également, rencontrer de hauts représentants des États-Unis, d'Espagne, d'Afrique du Sud, de Russie, du Royaume-Uni, de France et d'Allemagne, qui ont tous réaffirmé leur soutien aux efforts des Nations Unies pour faciliter une résolution politique au conflit.
Le SG de l’ONU a insisté dans son rapport sur l'importance de poursuivre les efforts diplomatiques à cet effet, soulignant le rôle clé du soutien de la communauté internationale dans ce cadre.
Enfin, le rapport a relevé que l’Envoyé personnel continuera à travailler en étroite collaboration avec toutes les parties pour avancer vers une solution pacifique et durable.