Sur les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU, trois reconnaissent aujourd’hui la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Il s’agit bien évidemment des États-Unis d’Amérique qui avaient ouvert le bal des reconnaissances majeures de la marocanité du Sahara en décembre 2020, de la France qui s’est alignée en juillet 2024 et, tout récemment, du Royaume-Uni, dont le ministre des Affaires étrangères, David Lammy, vient d’annoncer, depuis Rabat, que son pays considère «la proposition d’autonomie présentée par le Maroc en 2007 comme la base la plus crédible, viable et pragmatique pour un règlement durable du différend autour du Sahara».
Directe, claire et précise, cette annonce, qui rompt avec des décennies d’ambiguïté de la position britannique sur le dossier du Sahara, était pressentie depuis plusieurs mois. Elle s’inscrit en droite ligne d’une dynamique vertueuse pour notre pays et irritante pour ses détracteurs, enclenchée depuis le discours de Sa Majesté le Roi Mohammed VI du 20 août 2022, lors duquel il avait exigé plus de clarté de nos partenaires traditionnels sur le dossier du Sahara, désigné par le Souverain comme «le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international».
La même ligne a été réaffirmée dans le discours Royal du vendredi 11 octobre 2024 à l’occasion de l’ouverture de la première session de l’actuelle année législative, qui laissait clairement transparaître l’imminence du dénouement final de ce dossier, ainsi que dans le discours prononcé à l’occasion du 49ème anniversaire de la Marche Verte, dans lequel le Souverain évoquait un autre monde complètement déconnecté des réalités historiques, juridiques, politiques et sociologiques et qui continue à se nourrir «des mythes du passé et s’accroche désespérément à des thèses périmées».
La reconnaissance par un troisième membre permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU de la primauté du plan d’autonomie marocain sur toutes les autres options dépassées, qui vaut de facto reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, conjuguée à la disposition clairement affirmée du Royaume-Uni de s’ouvrir économiquement sur cette région du Maroc à travers des investissements conséquents, précipite davantage le règlement définitif de ce dossier qui n’a que trop duré.
Cette reconnaissance accentue enfin l’isolement et la déconnexion de cet «autre monde» de plus en plus rabougri qui continue à camper sur ses positions, ce qui l’exclut définitivement de la dynamique de prospérité partagée inaugurée par Sa Majesté le Roi et visant l’édification d’un espace atlantique africain cohérent, prospère et rayonnant, appelé à devenir dans un avenir proche le premier et le meilleur exemple d’une intégration, non seulement régionale, mais transcontinentale, à travers laquelle s’entrecroisent les intérêts et les richesses de pays et de nations de tous les continents, d’Afrique jusqu’en Asie, en passant par l’Europe, l’Amérique et le MoyenOrient.
Directe, claire et précise, cette annonce, qui rompt avec des décennies d’ambiguïté de la position britannique sur le dossier du Sahara, était pressentie depuis plusieurs mois. Elle s’inscrit en droite ligne d’une dynamique vertueuse pour notre pays et irritante pour ses détracteurs, enclenchée depuis le discours de Sa Majesté le Roi Mohammed VI du 20 août 2022, lors duquel il avait exigé plus de clarté de nos partenaires traditionnels sur le dossier du Sahara, désigné par le Souverain comme «le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international».
La même ligne a été réaffirmée dans le discours Royal du vendredi 11 octobre 2024 à l’occasion de l’ouverture de la première session de l’actuelle année législative, qui laissait clairement transparaître l’imminence du dénouement final de ce dossier, ainsi que dans le discours prononcé à l’occasion du 49ème anniversaire de la Marche Verte, dans lequel le Souverain évoquait un autre monde complètement déconnecté des réalités historiques, juridiques, politiques et sociologiques et qui continue à se nourrir «des mythes du passé et s’accroche désespérément à des thèses périmées».
La reconnaissance par un troisième membre permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU de la primauté du plan d’autonomie marocain sur toutes les autres options dépassées, qui vaut de facto reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, conjuguée à la disposition clairement affirmée du Royaume-Uni de s’ouvrir économiquement sur cette région du Maroc à travers des investissements conséquents, précipite davantage le règlement définitif de ce dossier qui n’a que trop duré.
Cette reconnaissance accentue enfin l’isolement et la déconnexion de cet «autre monde» de plus en plus rabougri qui continue à camper sur ses positions, ce qui l’exclut définitivement de la dynamique de prospérité partagée inaugurée par Sa Majesté le Roi et visant l’édification d’un espace atlantique africain cohérent, prospère et rayonnant, appelé à devenir dans un avenir proche le premier et le meilleur exemple d’une intégration, non seulement régionale, mais transcontinentale, à travers laquelle s’entrecroisent les intérêts et les richesses de pays et de nations de tous les continents, d’Afrique jusqu’en Asie, en passant par l’Europe, l’Amérique et le MoyenOrient.
