Ceci dit, la question du Sahara devrait être abordée par De Mistura lors de son entretien avec le diplomate espagnol. L’occasion de discuter notamment des derniers résultats de la dernière tournée effectuée par l'envoyé de l'ONU dans la région.
Cette prochaine rencontre suscite des attentes quant aux développements futurs sur la question du Sahara marocain. Cependant, aucun détail n’a été dévoilé dans ce sillage, tant du côté du ministère des Affaires étrangères que des Nations Unies. La dernière rencontre entre Albares et l’émissaire onusien remonte ainsi à février dernier, notamment en marge des travaux de la conférence de Munich sur la sécurité.
En septembre dernier, le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, a tenu des entretiens à Rabat avec l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour le Sahara marocain, Staffan De Mistura, en présence de l’Ambassadeur et Représentant Permanent du Royaume du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale. Au cours de ces entretiens, la délégation marocaine a rappelé les positionnements constants du Maroc, lesquels plaident en faveur d’une solution politique fondée exclusivement sur l’Initiative Marocaine d’Autonomie, dans le respect de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale .
Madrid reconnaît, bien évidemment, l’importance de la question du Sahara pour le Maroc, ainsi que les efforts sérieux et crédibles du Royaume dans ce sens . Pour rappel, José Manuel Albares, vient d’effectuer une visite officielle au Maroc, les 13 et 14 décembre. Le responsable a réitéré, à l'occasion de sa tournée, la position de l’Espagne sur la question du Sahara, telle que déjà exprimée dans la Déclaration conjointe, adoptée le 7 avril 2022, et la Déclaration sanctionnant la 12ème session de la Réunion de Haut Niveau (RHN) Maroc-Espagne en février 2023.
Il est à rappeler que ladite Déclaration, adoptée le 7 avril 2022 lors de la rencontre entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le Président du Gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, dispose que "l’Espagne considère l’initiative marocaine d’autonomie, présentée en 2007, comme la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution de ce différend".
Cette prochaine rencontre suscite des attentes quant aux développements futurs sur la question du Sahara marocain. Cependant, aucun détail n’a été dévoilé dans ce sillage, tant du côté du ministère des Affaires étrangères que des Nations Unies. La dernière rencontre entre Albares et l’émissaire onusien remonte ainsi à février dernier, notamment en marge des travaux de la conférence de Munich sur la sécurité.
En septembre dernier, le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, a tenu des entretiens à Rabat avec l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour le Sahara marocain, Staffan De Mistura, en présence de l’Ambassadeur et Représentant Permanent du Royaume du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale. Au cours de ces entretiens, la délégation marocaine a rappelé les positionnements constants du Maroc, lesquels plaident en faveur d’une solution politique fondée exclusivement sur l’Initiative Marocaine d’Autonomie, dans le respect de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale .
Madrid reconnaît, bien évidemment, l’importance de la question du Sahara pour le Maroc, ainsi que les efforts sérieux et crédibles du Royaume dans ce sens . Pour rappel, José Manuel Albares, vient d’effectuer une visite officielle au Maroc, les 13 et 14 décembre. Le responsable a réitéré, à l'occasion de sa tournée, la position de l’Espagne sur la question du Sahara, telle que déjà exprimée dans la Déclaration conjointe, adoptée le 7 avril 2022, et la Déclaration sanctionnant la 12ème session de la Réunion de Haut Niveau (RHN) Maroc-Espagne en février 2023.
Il est à rappeler que ladite Déclaration, adoptée le 7 avril 2022 lors de la rencontre entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le Président du Gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, dispose que "l’Espagne considère l’initiative marocaine d’autonomie, présentée en 2007, comme la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution de ce différend".