Un peu à l’écart de l’ébullition des grands halls du SIEL, lequel se déroule à Rabat du 9 au 19 mai, ont été animés ce mercredi 15 mai différents ateliers découverte sur le thème de la protection de l’environnement, destinés aux enfants, et organisés par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, en étroite collaboration avec l’UNESCO, le tout dans une ambiance conviviale, vivante et animée.
Cette journée a eu lieu parallèlement à l’animation du stand de la Fondation, par une série d’ateliers conçus pour engager les visiteurs de tous âges dans la compréhension et l’action environnementale, avec des rendez-vous organisés pendant toute la durée du SIEL.
Dans le cadre de cette journée, trois ateliers ont été organisés sous les thèmes Boundif, le recyclage des déchets, et l’intelligence artificielle au service de l’environnement.
Au-delà du rôle éducatif du SIEL, la Fondation vise à lui donner un rôle de sensibilisation : l’enfant, une fois après avoir participé à ces ateliers, devient sentinelle, et inculque ensuite tout ce qui lui a été transmis à son entourage.
À propos du programme « Éco écoles », lancé par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement en 2006 en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, du préscolaire et des sports, 4 443 écoles y sont inscrites avec un engagement de plus de 2 958 850 élèves et 74 467 enseignants formés.
Aussi, la Fondation appuie l’importance de l’éducation environnementale active et la richesse des programmes proposés, afin de renforcer la sensibilisation et l’engagement envers un avenir durable.
Cette journée a eu lieu parallèlement à l’animation du stand de la Fondation, par une série d’ateliers conçus pour engager les visiteurs de tous âges dans la compréhension et l’action environnementale, avec des rendez-vous organisés pendant toute la durée du SIEL.
Dans le cadre de cette journée, trois ateliers ont été organisés sous les thèmes Boundif, le recyclage des déchets, et l’intelligence artificielle au service de l’environnement.
Au-delà du rôle éducatif du SIEL, la Fondation vise à lui donner un rôle de sensibilisation : l’enfant, une fois après avoir participé à ces ateliers, devient sentinelle, et inculque ensuite tout ce qui lui a été transmis à son entourage.
À propos du programme « Éco écoles », lancé par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement en 2006 en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, du préscolaire et des sports, 4 443 écoles y sont inscrites avec un engagement de plus de 2 958 850 élèves et 74 467 enseignants formés.
Aussi, la Fondation appuie l’importance de l’éducation environnementale active et la richesse des programmes proposés, afin de renforcer la sensibilisation et l’engagement envers un avenir durable.
Questions à Ismaïl Farjia
"L'objectif est de donner à ces jeunes des outils de l'IA pour pouvoir les aider dans leur création."
Coordinateur de l'Initiative African Youth Climate Hub (Initiative de la jeunesse africaine sur le changement climatique) à la FM6E, Ismaïl Farjia répond à nos questions.
Pouvez-vous nous parler plus en détail des ateliers sur l’intelligence artificielle organisés ce mercredi ?
La FM6E organise aujourd'hui des sessions sur l'intelligence artificielle au profit de ses éco-écoliers et jeunes reporters pour l'environnement (JRE). L'objectif est de donner à ces jeunes des outils de l'IA pour pouvoir les aider dans leur création, notamment dans le cadre des programmes que la Fondation organise.
Pourquoi l'intelligence artificielle est-elle importante ? Bien sûr parce qu'elle nous assiste aujourd'hui en tant qu'une technologie de cette génération-là pour résoudre des problématiques.
Au niveau de la protection de l'environnement et pour combattre l'impact des changements climatiques, c'est une technologie qui pourrait nous apporter beaucoup de soutien entre autres différentes choses.
Premièrement, comment nos jeunes peuvent comprendre ce que c'est que l'impact des changements climatiques avec l'aide de l'IA, deuxièmement, comment est-ce qu'on peut accéder à une information notamment sur cet impact, mais aussi comment ces jeunes-là peuvent être soutenus et aidés par l'intelligence artificielle pour développer des solutions durables pour la protection de l'environnement et combattre les changements climatiques.
À ce niveau, ces outils leur permettent aussi d'avoir des créations poétiques ou des créations artistiques.
Quels sont les défis de l’utilisation de l’IA au niveau éthique ?
Le plus important, c'est que l'on cherche à sensibiliser et à éduquer ces enfants sur l'opportunité de l'IA, mais aussi le plus important, sur les défis de l'IA. C'est pour cela que nous avons un support dans ces différentes sessions, notre partenaire privilégié étant l'UNESCO, qui cherche à sensibiliser, notamment via les différentes actions qui sont prises, par exemple la Déclaration sur l’éthique de l'IA, sur comment ces jeunes peuvent comprendre les opportunités derrière l'IA, et enfin comment ils peuvent l'utiliser de manière responsable, sans pour autant nuire à autrui.
Vous avez dit que l'IA pouvait aider à faire de la poésie autour de l'environnement ?
Tout à fait. Bien sûr, il est important de noter que l'intelligence artificielle ne dépassera jamais l'intelligence humaine. De ce fait, l'être humain et notamment les jeunes sont les pilotes au niveau de ces différents projets, et l'IA n'est qu'un outil qui va les aider à mieux raffiner leur production artistique, leur production créative.
Quelle est l’importance du livre en tant qu’objet dans cette sensibilisation ?
Nous sommes engagés dans l'éducation tout au long de la vie, ce qui signifie que le livre est un élément essentiel et crucial pour qu'on puisse co-construire et partager de manière intergénérationnelle la connaissance.
Coordinateur de l'Initiative African Youth Climate Hub (Initiative de la jeunesse africaine sur le changement climatique) à la FM6E, Ismaïl Farjia répond à nos questions.
Pouvez-vous nous parler plus en détail des ateliers sur l’intelligence artificielle organisés ce mercredi ?
La FM6E organise aujourd'hui des sessions sur l'intelligence artificielle au profit de ses éco-écoliers et jeunes reporters pour l'environnement (JRE). L'objectif est de donner à ces jeunes des outils de l'IA pour pouvoir les aider dans leur création, notamment dans le cadre des programmes que la Fondation organise.
Pourquoi l'intelligence artificielle est-elle importante ? Bien sûr parce qu'elle nous assiste aujourd'hui en tant qu'une technologie de cette génération-là pour résoudre des problématiques.
Au niveau de la protection de l'environnement et pour combattre l'impact des changements climatiques, c'est une technologie qui pourrait nous apporter beaucoup de soutien entre autres différentes choses.
Premièrement, comment nos jeunes peuvent comprendre ce que c'est que l'impact des changements climatiques avec l'aide de l'IA, deuxièmement, comment est-ce qu'on peut accéder à une information notamment sur cet impact, mais aussi comment ces jeunes-là peuvent être soutenus et aidés par l'intelligence artificielle pour développer des solutions durables pour la protection de l'environnement et combattre les changements climatiques.
À ce niveau, ces outils leur permettent aussi d'avoir des créations poétiques ou des créations artistiques.
Quels sont les défis de l’utilisation de l’IA au niveau éthique ?
Le plus important, c'est que l'on cherche à sensibiliser et à éduquer ces enfants sur l'opportunité de l'IA, mais aussi le plus important, sur les défis de l'IA. C'est pour cela que nous avons un support dans ces différentes sessions, notre partenaire privilégié étant l'UNESCO, qui cherche à sensibiliser, notamment via les différentes actions qui sont prises, par exemple la Déclaration sur l’éthique de l'IA, sur comment ces jeunes peuvent comprendre les opportunités derrière l'IA, et enfin comment ils peuvent l'utiliser de manière responsable, sans pour autant nuire à autrui.
Vous avez dit que l'IA pouvait aider à faire de la poésie autour de l'environnement ?
Tout à fait. Bien sûr, il est important de noter que l'intelligence artificielle ne dépassera jamais l'intelligence humaine. De ce fait, l'être humain et notamment les jeunes sont les pilotes au niveau de ces différents projets, et l'IA n'est qu'un outil qui va les aider à mieux raffiner leur production artistique, leur production créative.
Quelle est l’importance du livre en tant qu’objet dans cette sensibilisation ?
Nous sommes engagés dans l'éducation tout au long de la vie, ce qui signifie que le livre est un élément essentiel et crucial pour qu'on puisse co-construire et partager de manière intergénérationnelle la connaissance.