En ce 30 juillet 2024, le Maroc célèbre avec faste le 25ème anniversaire de l’intronisation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Un quart de siècle s’est écoulé depuis ce jour mémorable de 1999 où le jeune Prince héritier est devenu le Souverain d’un Royaume millénaire, prêt à affronter les défis du XXIe siècle.
Héritier d’une dynastie chérifienne vieille de près de quatre siècles, Mohammed VI a su insuffler un vent de modernité tout en préservant l’essence même de la Monarchie marocaine. Dès Son accession au Trône, Il s’est présenté comme le «Roi des pauvres», annonçant une ère nouvelle, celle d’une Monarchie plus proche de Son peuple et consciente des enjeux sociaux.
Le règne de SM Mohammed VI est marqué par des réformes audacieuses qui transforment profondément le paysage social et politique du Royaume. La Moudawana, le Code de la famille révisé en 2004, a considérablement amélioré les droits des femmes, faisant du Maroc un précurseur dans le monde arabo-musulman. L’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), lancée en 2005, a permis de lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, touchant des millions de Marocains.
Sur le plan économique, le Maroc a connu une modernisation sans précédent. Le port Tanger Med, inauguré en 2007, est devenu le plus grand port d’Afrique, symbole de l’ambition du Royaume de s’imposer comme hub logistique et commercial. Le projet grandiose de la ligne à grande vitesse reliant Tanger à Casablanca, mis en service en 2018, illustre la volonté du Souverain de doter le pays d’infrastructures de classe mondiale. La diplomatie marocaine, sous l’impulsion Royale, a connu un nouveau souffle. Le Maroc s’est affirmé comme un acteur incontournable sur la scène africaine, multipliant les partenariats économiques et diplomatiques. Le retour du Royaume au sein de l’Union Africaine en 2017, après 33 ans d’absence, a marqué un tournant majeur dans cette stratégie africaine.
La question du Sahara, vecteur de la diplomatie marocaine depuis des décennies, a connu des avancées significatives. La reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté marocaine sur ce territoire en 2020 a été perçue comme une victoire diplomatique majeure pour le Royaume.
Sur le plan environnemental, le Maroc s’est positionné comme un leader régional dans la transition vers les énergies renouvelables. Le complexe solaire Noor à Ouarzazate, l’un des plus grands au monde, témoigne de cette ambition verte portée par le Souverain.
Le règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI a été marqué par une vision proactive et une capacité d’adaptation remarquable face aux défis régionaux et mondiaux. Lorsque les vents du changement ont soufflé sur la région en 2011, le Maroc, sous la sage conduite de son Souverain, a su anticiper les aspirations de son peuple. La nouvelle Constitution de 2011, fruit d’un large consensus national, a consolidé les institutions démocratiques du Royaume, renforçant ainsi la stabilité et la cohésion du pays.
Conscient des enjeux socio-économiques, Sa Majesté a constamment œuvré pour un développement inclusif et équilibré. Les programmes de développement lancés dans diverses régions témoignent de cette volonté Royale de promouvoir un progrès harmonieux sur l’ensemble du territoire national.
Alors que le Maroc célèbre ce jubilé d’argent, le bilan du règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI s’avère résolument positif et porteur d’espoir. Le Royaume s’est imposé comme un modèle de stabilité et de progrès dans une région en pleine mutation. Les initiatives visionnaires lancées au cours de ces 25 années portent déjà leurs fruits et continueront à façonner l’avenir prometteur du Maroc. Sous la conduite éclairée de Sa Majesté, le Royaume poursuit sa marche vers le progrès, relevant avec détermination les défis du XXIe siècle : développement durable, transition énergétique, et consolidation de son rôle de leader régional.
En ce jour d’anniversaire, les Marocains regardent vers l’avenir avec confiance et fierté, conscients des réalisations accomplies et enthousiastes face aux perspectives qui s’ouvrent à eux. Le règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, alliant harmonieusement tradition et modernité, continue de guider le Maroc vers un avenir radieux, renforçant sa position unique de trait d’union entre l’Afrique, l’Europe et le Monde arabe.
Héritier d’une dynastie chérifienne vieille de près de quatre siècles, Mohammed VI a su insuffler un vent de modernité tout en préservant l’essence même de la Monarchie marocaine. Dès Son accession au Trône, Il s’est présenté comme le «Roi des pauvres», annonçant une ère nouvelle, celle d’une Monarchie plus proche de Son peuple et consciente des enjeux sociaux.
Le règne de SM Mohammed VI est marqué par des réformes audacieuses qui transforment profondément le paysage social et politique du Royaume. La Moudawana, le Code de la famille révisé en 2004, a considérablement amélioré les droits des femmes, faisant du Maroc un précurseur dans le monde arabo-musulman. L’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), lancée en 2005, a permis de lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, touchant des millions de Marocains.
Sur le plan économique, le Maroc a connu une modernisation sans précédent. Le port Tanger Med, inauguré en 2007, est devenu le plus grand port d’Afrique, symbole de l’ambition du Royaume de s’imposer comme hub logistique et commercial. Le projet grandiose de la ligne à grande vitesse reliant Tanger à Casablanca, mis en service en 2018, illustre la volonté du Souverain de doter le pays d’infrastructures de classe mondiale. La diplomatie marocaine, sous l’impulsion Royale, a connu un nouveau souffle. Le Maroc s’est affirmé comme un acteur incontournable sur la scène africaine, multipliant les partenariats économiques et diplomatiques. Le retour du Royaume au sein de l’Union Africaine en 2017, après 33 ans d’absence, a marqué un tournant majeur dans cette stratégie africaine.
La question du Sahara, vecteur de la diplomatie marocaine depuis des décennies, a connu des avancées significatives. La reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté marocaine sur ce territoire en 2020 a été perçue comme une victoire diplomatique majeure pour le Royaume.
Sur le plan environnemental, le Maroc s’est positionné comme un leader régional dans la transition vers les énergies renouvelables. Le complexe solaire Noor à Ouarzazate, l’un des plus grands au monde, témoigne de cette ambition verte portée par le Souverain.
Le règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI a été marqué par une vision proactive et une capacité d’adaptation remarquable face aux défis régionaux et mondiaux. Lorsque les vents du changement ont soufflé sur la région en 2011, le Maroc, sous la sage conduite de son Souverain, a su anticiper les aspirations de son peuple. La nouvelle Constitution de 2011, fruit d’un large consensus national, a consolidé les institutions démocratiques du Royaume, renforçant ainsi la stabilité et la cohésion du pays.
Conscient des enjeux socio-économiques, Sa Majesté a constamment œuvré pour un développement inclusif et équilibré. Les programmes de développement lancés dans diverses régions témoignent de cette volonté Royale de promouvoir un progrès harmonieux sur l’ensemble du territoire national.
Alors que le Maroc célèbre ce jubilé d’argent, le bilan du règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI s’avère résolument positif et porteur d’espoir. Le Royaume s’est imposé comme un modèle de stabilité et de progrès dans une région en pleine mutation. Les initiatives visionnaires lancées au cours de ces 25 années portent déjà leurs fruits et continueront à façonner l’avenir prometteur du Maroc. Sous la conduite éclairée de Sa Majesté, le Royaume poursuit sa marche vers le progrès, relevant avec détermination les défis du XXIe siècle : développement durable, transition énergétique, et consolidation de son rôle de leader régional.
En ce jour d’anniversaire, les Marocains regardent vers l’avenir avec confiance et fierté, conscients des réalisations accomplies et enthousiastes face aux perspectives qui s’ouvrent à eux. Le règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, alliant harmonieusement tradition et modernité, continue de guider le Maroc vers un avenir radieux, renforçant sa position unique de trait d’union entre l’Afrique, l’Europe et le Monde arabe.
Dialogue euroméditerranéen : La diplomatie de proximité, une expertise inégalée
Les amitiés diplomatiques de Sa Majesté le Roi Mohammed VI avec d’autres chefs d’État ont joué un rôle crucial dans le renforcement de la position internationale du Maroc. Ces relations empreintes de respect mutuel et de cordialité, ont souvent dépassé le cadre formel des relations interétatiques pour devenir de véritables atouts diplomatiques.
Parmi les amitiés notables, on peut citer celle avec le Roi Felipe VI d’Espagne. Cette relation, héritée de Leurs pères respectifs, a contribué à maintenir des liens étroits entre les deux Royaumes malgré les défis occasionnels. Les visites d’État et les échanges réguliers entre les deux Souverains ont permis de renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines.
En Afrique, l’amitié de Sa Majesté avec plusieurs chefs d’État, notamment en Afrique de l’Ouest, a facilité le retour du Maroc au sein de l’Union Africaine et son positionnement comme acteur incontournable sur le continent. Les liens personnels tissés lors des nombreuses tournées Royales ont souvent débouché sur des accords de coopération concrets.
Dans le Golfe, les relations étroites avec les dirigeants, en particulier avec la famille royale saoudienne, ont permis au Maroc de maintenir une position équilibrée dans les dynamiques régionales complexes. L’amitié avec le Roi Abdallah II de Jordanie, basée sur des liens historiques entre les deux Monarchies hachémite et alaouite, a renforcé la coopération entre les deux pays sur des questions régionales cruciales.
Ces amitiés ont permis à Sa Majesté le Roi Mohammed VI de développer une diplomatie de proximité efficace.
Elles ont souvent facilité la résolution de différends, l’ouverture de nouveaux champs de coopération et le renforcement de la position du Maroc sur la scène internationale.
Parmi les amitiés notables, on peut citer celle avec le Roi Felipe VI d’Espagne. Cette relation, héritée de Leurs pères respectifs, a contribué à maintenir des liens étroits entre les deux Royaumes malgré les défis occasionnels. Les visites d’État et les échanges réguliers entre les deux Souverains ont permis de renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines.
En Afrique, l’amitié de Sa Majesté avec plusieurs chefs d’État, notamment en Afrique de l’Ouest, a facilité le retour du Maroc au sein de l’Union Africaine et son positionnement comme acteur incontournable sur le continent. Les liens personnels tissés lors des nombreuses tournées Royales ont souvent débouché sur des accords de coopération concrets.
Dans le Golfe, les relations étroites avec les dirigeants, en particulier avec la famille royale saoudienne, ont permis au Maroc de maintenir une position équilibrée dans les dynamiques régionales complexes. L’amitié avec le Roi Abdallah II de Jordanie, basée sur des liens historiques entre les deux Monarchies hachémite et alaouite, a renforcé la coopération entre les deux pays sur des questions régionales cruciales.
Ces amitiés ont permis à Sa Majesté le Roi Mohammed VI de développer une diplomatie de proximité efficace.
Elles ont souvent facilité la résolution de différends, l’ouverture de nouveaux champs de coopération et le renforcement de la position du Maroc sur la scène internationale.
Diplomatie : Le soft power d’influence au service du Royaume
Depuis Son accession au Trône en 1999, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a déployé une stratégie de soft power remarquable, propulsant le Maroc sur la scène internationale comme un acteur influent et respecté. Cette approche subtile et efficace de la diplomatie a permis au Royaume de renforcer son image, d’étendre son influence et de consolider ses alliances bien au-delà de ses frontières.
Au cœur de cette stratégie se trouve la promotion de l’Islam modéré et tolérant. En tant que Commandeur des Croyants, Sa Majesté a positionné le Maroc comme un phare de l’Islam du juste milieu, combattant l’extrémisme et promouvant le dialogue interreligieux. La création de l’Institut Mohammed VI de formation des Imams, Morchidines et Morchidates, qui accueille des étudiants de nombreux pays africains et européens, illustre parfaitement cette dimension du soft power marocain.
La diplomatie culturelle occupe également une place centrale dans cette stratégie. SM le Roi a encouragé la promotion de la culture marocaine à l’étranger, à travers des expositions, des festivals et des échanges artistiques. La Fondation Nationale des Musées, créée sous impulsion Royale, a permis de moderniser et d’internationaliser le paysage muséal marocain, attirant un public mondial.
Sur le plan économique, Sa Majesté a fait du Maroc une porte d’entrée vers l’Afrique pour les investisseurs internationaux. Les tournées Royales dans le continent ont débouché sur de nombreux accords de coopération, positionnant le Royaume comme un hub économique et financier entre l’Europe et l’Afrique.
La politique environnementale ambitieuse du Maroc, symbolisée par le complexe solaire Noor à Ouarzazate, a renforcé l’image du pays comme leader dans la lutte contre le changement climatique. L’organisation réussie de la COP22 à Marrakech en 2016 a consacré ce statut sur la scène internationale.
Dans le domaine sportif, la candidature du Maroc à l’organisation de la Coupe du Monde 2030, en partenariat avec l’Espagne et le Portugal, illustre l’ambition du Royaume de s’imposer comme une nation capable d’accueillir des événements majeurs, renforçant ainsi son prestige international.
La diplomatie humanitaire constitue un autre pilier du soft power marocain. Les interventions du Maroc lors de catastrophes naturelles, comme l’envoi d’aide après le séisme en Turquie et en Syrie en 2023, ont renforcé l’image d’un pays solidaire et engagé sur la scène internationale.
La gestion de la crise du Covid-19 a également été l’occasion pour le Maroc de démontrer son savoir-faire et sa solidarité. L’envoi de matériel médical à plusieurs pays africains a consolidé le statut du Royaume comme partenaire fiable sur le continent.
En fin, la diplomatie migratoire du Maroc, caractérisée par une approche humaniste et pragmatique, a permis au pays de se positionner comme interlocuteur incontournable sur cette question cruciale pour l’Europe et l’Afrique.
Au cœur de cette stratégie se trouve la promotion de l’Islam modéré et tolérant. En tant que Commandeur des Croyants, Sa Majesté a positionné le Maroc comme un phare de l’Islam du juste milieu, combattant l’extrémisme et promouvant le dialogue interreligieux. La création de l’Institut Mohammed VI de formation des Imams, Morchidines et Morchidates, qui accueille des étudiants de nombreux pays africains et européens, illustre parfaitement cette dimension du soft power marocain.
La diplomatie culturelle occupe également une place centrale dans cette stratégie. SM le Roi a encouragé la promotion de la culture marocaine à l’étranger, à travers des expositions, des festivals et des échanges artistiques. La Fondation Nationale des Musées, créée sous impulsion Royale, a permis de moderniser et d’internationaliser le paysage muséal marocain, attirant un public mondial.
Sur le plan économique, Sa Majesté a fait du Maroc une porte d’entrée vers l’Afrique pour les investisseurs internationaux. Les tournées Royales dans le continent ont débouché sur de nombreux accords de coopération, positionnant le Royaume comme un hub économique et financier entre l’Europe et l’Afrique.
La politique environnementale ambitieuse du Maroc, symbolisée par le complexe solaire Noor à Ouarzazate, a renforcé l’image du pays comme leader dans la lutte contre le changement climatique. L’organisation réussie de la COP22 à Marrakech en 2016 a consacré ce statut sur la scène internationale.
Dans le domaine sportif, la candidature du Maroc à l’organisation de la Coupe du Monde 2030, en partenariat avec l’Espagne et le Portugal, illustre l’ambition du Royaume de s’imposer comme une nation capable d’accueillir des événements majeurs, renforçant ainsi son prestige international.
La diplomatie humanitaire constitue un autre pilier du soft power marocain. Les interventions du Maroc lors de catastrophes naturelles, comme l’envoi d’aide après le séisme en Turquie et en Syrie en 2023, ont renforcé l’image d’un pays solidaire et engagé sur la scène internationale.
La gestion de la crise du Covid-19 a également été l’occasion pour le Maroc de démontrer son savoir-faire et sa solidarité. L’envoi de matériel médical à plusieurs pays africains a consolidé le statut du Royaume comme partenaire fiable sur le continent.
En fin, la diplomatie migratoire du Maroc, caractérisée par une approche humaniste et pragmatique, a permis au pays de se positionner comme interlocuteur incontournable sur cette question cruciale pour l’Europe et l’Afrique.
Politique : Un partenariat maroco-américain de plus en plus renforcé
Depuis Son accession au Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a œuvré sans relâche pour consolider et approfondir les relations diplomatiques entre le Royaume du Maroc et les États-Unis d’Amérique. Cette amitié, ancrée dans l’Histoire (le Maroc fut le premier pays à reconnaître l’indépendance américaine en 1777) a connu un essor remarquable sous le règne du Souverain alaouite.
Le partenariat stratégique entre les deux nations s’est considérablement renforcé, couvrant des domaines aussi variés que la sécurité régionale, la lutte contre le terrorisme, le développement économique et les échanges culturels. Les visites d’État et les rencontres diplomatiques de haut niveau se sont multipliées, témoignant de la vitalité de cette relation bilatérale.
Un moment clé de cette amitié fut la reconnaissance historique par les États-Unis, en décembre 2020, de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Cette décision, fruit d’un travail diplomatique de longue haleine, a marqué un tournant majeur dans les relations maroco-américaines et dans la résolution de ce différend régional.
Sous l’impulsion de Sa Majesté, le Maroc s’est également imposé comme un allié précieux des États-Unis en Afrique et dans le Monde arabe. Le Royaume joue un rôle crucial de médiateur et de facilitateur, promouvant la stabilité et le dialogue dans des régions souvent troublées.
Les accords de libre-échange, les programmes de coopération militaire, et les initiatives conjointes dans les domaines de l’éducation et de la culture ont encore renforcé les liens entre les deux pays. L’engagement personnel de Sa Majesté le Roi Mohammed VI dans cette amitié diplomatique a permis d’élever les relations maroco-américaines au rang de partenariat stratégique exemplaire, servant de modèle pour les relations entre le monde occidental et le monde arabo-musulman.
Alors que le Maroc continue son ascension sur la scène internationale, l’amitié avec les États-Unis, cultivée avec soin par Sa Majesté, s’affirme comme un pilier de Sa politique étrangère, promettant un avenir de coopération et de prospérité partagée.
Le partenariat stratégique entre les deux nations s’est considérablement renforcé, couvrant des domaines aussi variés que la sécurité régionale, la lutte contre le terrorisme, le développement économique et les échanges culturels. Les visites d’État et les rencontres diplomatiques de haut niveau se sont multipliées, témoignant de la vitalité de cette relation bilatérale.
Un moment clé de cette amitié fut la reconnaissance historique par les États-Unis, en décembre 2020, de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Cette décision, fruit d’un travail diplomatique de longue haleine, a marqué un tournant majeur dans les relations maroco-américaines et dans la résolution de ce différend régional.
Sous l’impulsion de Sa Majesté, le Maroc s’est également imposé comme un allié précieux des États-Unis en Afrique et dans le Monde arabe. Le Royaume joue un rôle crucial de médiateur et de facilitateur, promouvant la stabilité et le dialogue dans des régions souvent troublées.
Les accords de libre-échange, les programmes de coopération militaire, et les initiatives conjointes dans les domaines de l’éducation et de la culture ont encore renforcé les liens entre les deux pays. L’engagement personnel de Sa Majesté le Roi Mohammed VI dans cette amitié diplomatique a permis d’élever les relations maroco-américaines au rang de partenariat stratégique exemplaire, servant de modèle pour les relations entre le monde occidental et le monde arabo-musulman.
Alors que le Maroc continue son ascension sur la scène internationale, l’amitié avec les États-Unis, cultivée avec soin par Sa Majesté, s’affirme comme un pilier de Sa politique étrangère, promettant un avenir de coopération et de prospérité partagée.
Rétrospective : Intronisation de Sa Majesté le Roi
L’intronisation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le 30 juillet 1999, marque un tournant décisif dans l’Histoire moderne du Maroc. Cette cérémonie solennelle, empreinte de tradition et de symbolisme, se déroule dans un contexte de transition et d’espoir pour le Royaume chérifien.
Quelques jours après le décès de Feu Hassan II, le jeune Prince héritier, alors âgé de 35 ans, accède au Trône alaouite. La cérémonie d’intronisation s’est tenue au Palais Royal de Rabat, en présence des hauts dignitaires du Royaume, des représentants des corps constitués et des délégations étrangères.
Vêtu de la traditionnelle djellaba blanche et coiffé du fez rouge, symboles de la Monarchie marocaine, le nouveau Souverain a prêté serment sur le Coran, s’engageant à servir Son peuple et à préserver l’intégrité territoriale du Royaume. Ce moment solennel a été suivi de la Baïaa, l’acte d’allégeance au cours duquel les représentants de la nation renouvellent leur fidélité à la Monarchie et au nouveau Roi.
Dans Son premier discours du Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a esquissé Sa vision pour le Maroc, promettant de poursuivre l’œuvre de modernisation entamée par Son défunt père tout en insufflant un nouvel élan. Il a, ainsi, mis l’accent sur le développement social, la lutte contre la pauvreté et l’analphabétisme, et la promotion des droits de l’Homme, se présentant comme le «Roi des pauvres».
Cette intronisation a été suivie de célébrations à travers tout le pays, mêlant joie populaire et espoir d’un renouveau. Les Marocains n’ont pas tardé à voir en leur jeune Roi la promesse d’un Maroc moderne, ouvert et juste.
Cet événement marqua le début d’une nouvelle ère pour le Maroc, caractérisée par des réformes importantes dans les domaines politique, social et économique. L’intronisation de SM le Roi Mohammed VI symbolise ainsi la continuité de la Monarchie marocaine tout en annonçant un Règne placé sous le signe du changement et de la modernisation.
Quelques jours après le décès de Feu Hassan II, le jeune Prince héritier, alors âgé de 35 ans, accède au Trône alaouite. La cérémonie d’intronisation s’est tenue au Palais Royal de Rabat, en présence des hauts dignitaires du Royaume, des représentants des corps constitués et des délégations étrangères.
Vêtu de la traditionnelle djellaba blanche et coiffé du fez rouge, symboles de la Monarchie marocaine, le nouveau Souverain a prêté serment sur le Coran, s’engageant à servir Son peuple et à préserver l’intégrité territoriale du Royaume. Ce moment solennel a été suivi de la Baïaa, l’acte d’allégeance au cours duquel les représentants de la nation renouvellent leur fidélité à la Monarchie et au nouveau Roi.
Dans Son premier discours du Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a esquissé Sa vision pour le Maroc, promettant de poursuivre l’œuvre de modernisation entamée par Son défunt père tout en insufflant un nouvel élan. Il a, ainsi, mis l’accent sur le développement social, la lutte contre la pauvreté et l’analphabétisme, et la promotion des droits de l’Homme, se présentant comme le «Roi des pauvres».
Cette intronisation a été suivie de célébrations à travers tout le pays, mêlant joie populaire et espoir d’un renouveau. Les Marocains n’ont pas tardé à voir en leur jeune Roi la promesse d’un Maroc moderne, ouvert et juste.
Cet événement marqua le début d’une nouvelle ère pour le Maroc, caractérisée par des réformes importantes dans les domaines politique, social et économique. L’intronisation de SM le Roi Mohammed VI symbolise ainsi la continuité de la Monarchie marocaine tout en annonçant un Règne placé sous le signe du changement et de la modernisation.
3 questions à Olivier Védrine : "Paris, Bruxelles et Washington ont besoin du Maroc comme stabilisateur régional"
C'est à cœur joie que le professeur, journaliste, rédacteur en chef du Russian Monitor, ancien conférencier de la Commission européenne, conférencier politique pour les questions russo-ukrainiennes et membre du bureau de l’Association Jean Monnet, Olivier Védrine nous a accordé cette interview.
-25 ans, un quart de siècle, quelles sont les lignes directrices du règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI ?
-L’accomplissement de réformes significatives. En 2004, le Roi Mohammed VI a refondu le Code du statut personnel, connu sous le nom de Moudawana. En 2004 également, le Roi Mohammed VI a créé l'Instance Équité et Réconciliation (IER), une commission chargée d'enquêter sur les violations des droits de l'Homme commises par le passé. Cette initiative visait à réconcilier le pays avec son passé et à fournir une réparation aux victimes.
Sur le plan économique, des réformes majeures ont aussi été adoptées, influençant positivement le taux de croissance du Maroc. Ces réformes ont été interconnectées avec des politiques socio-économiques et ont eu des impacts durables importants.
-Quel bilan pourrait-on en tirer ?
-En 25 ans de règne, le Roi Mohammed VI a fait du Maroc une puissance régionale incontournable et puissante et maintenant Paris, Bruxelles et Washington ont besoin du Maroc comme stabilisateur régional.
-Quel avenir pourrait-on espérer pour le Maroc sous la lumière éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI?
Le royaume du Maroc apparaît maintenant comme la seule nation jouissant de la stabilité institutionnelle et macroéconomique dans cette zone géographique. Ceci lui donnera un rôle incontournable et puissant pour l'équilibre de la Méditerranée, la stabilité en Afrique du Nord, la sécurité de la France et de l’Europe.