En réponse à une question lors de la séance hebdomadaire des questions orales à la Chambre des Conseillers, tenue aujourd'hui mardi 16 mai, le ministre de la Jeunesse, de la Communication et de la Culture, Mehdi Bensaid a précisé, que jusqu’à présent, il existe environ 1.300 sites d’informations non autorisés au Maroc, en plus de sites autorisés qui ne respectent pas les obligations notamment en matière de protection sociale.
Le ministre a de même souligné que « ce chaos qui règne dans le secteur des médias est principalement dû aux lacunes du code de la presse, qu'il est temps de changer », ajoutant dans ce contexte que le gouvernement travaille sur cette question, et a tenu plusieurs réunions avec des professionnels.
Il a aussi assuré qu’un décret est en préparation au ministère, et qu’il sera bientôt prêt.
Dans le même sillage, Bensaid a affirmé que son département est en train d'élaborer un accord-cadre avec les entreprises de presse. L’objectif étant de les encourager à se développer et à se moderniser afin de rompre avec les pratiques qui vont à l’encontre du développement du secteur.
Le règlement de ces problèmes, selon lui, passe par une mise à niveau et une réhabilitation de l’entreprise de presse, ce qui ne saurait se faire sans combler les lacunes juridiques.
La presse reste un service public noble, et "un métier qui doit être encadré, et l'accès à celui-ci doit se faire selon des conditions strictes", surtout dans le contexte des défis existants. a-t-il conclu.
Le ministre a de même souligné que « ce chaos qui règne dans le secteur des médias est principalement dû aux lacunes du code de la presse, qu'il est temps de changer », ajoutant dans ce contexte que le gouvernement travaille sur cette question, et a tenu plusieurs réunions avec des professionnels.
Il a aussi assuré qu’un décret est en préparation au ministère, et qu’il sera bientôt prêt.
Dans le même sillage, Bensaid a affirmé que son département est en train d'élaborer un accord-cadre avec les entreprises de presse. L’objectif étant de les encourager à se développer et à se moderniser afin de rompre avec les pratiques qui vont à l’encontre du développement du secteur.
Le règlement de ces problèmes, selon lui, passe par une mise à niveau et une réhabilitation de l’entreprise de presse, ce qui ne saurait se faire sans combler les lacunes juridiques.
La presse reste un service public noble, et "un métier qui doit être encadré, et l'accès à celui-ci doit se faire selon des conditions strictes", surtout dans le contexte des défis existants. a-t-il conclu.
