Cette réunion déterminera l'issue du conflit qui les oppose à la maire de la capitale, Asmaa Rhlalou. Les tensions ont éclaté suite à l'augmentation des redevances collectives pour l'exploitation temporaire du domaine public décrétée par la maire. Cette décision a suscité des inquiétudes et des désaccords parmi les propriétaires de cafés et de restaurants à Rabat, qui considèrent que cette mesure pourrait avoir un impact négatif sur leurs activités économiques.
Prévue initialement pour la fin du mois de mai dernier, une grève générale des propriétaires de cafés et de restaurants de Rabat avait été temporairement suspendue suite à l'intervention de la Wilaya de la région, dans le but de résoudre le conflit entre les parties. Malgré cette suspension, la possibilité d'une grève générale demeure d'actualité si leurs demandes ne sont pas satisfaites.
L’Association nationale des propriétaires de cafés et de restaurants du Maroc, sous la supervision de du secrétaire général de la Wilaya, a tenu une série de réunions avec le Conseil communal de Rabat. Ces rencontres ont débouché sur un accord pour former un comité conjoint chargé d’analyser le différend, principalement lié aux frais d’occupation temporaire du domaine public.
Dans une déclaration à Hespress, Noureddine El Harraq, président de l’Association nationale des propriétaires de cafés et de restaurants au Maroc, a exprimé son optimisme quant à la recherche d'une solution par le secrétaire général de la Wilaya de Rabat-Salé-Kénitra.
« Malheureusement, une réunion prévue la semaine dernière a été annulée en raison d’un problème de santé », explique-t-il, mais El Harraq reste confiant quant aux perspectives de résolution. Malgré l'absence d'annonce officielle d'annulation de l'augmentation des redevances collectives pour l'exploitation du domaine public, il demeure optimiste que « les négociations aboutiront rapidement à un accord satisfaisant pour les propriétaires de cafés et de restaurants, mettant ainsi fin au différend ».
« Les propriétaires de cafés et de restaurants sont toujours résolus à faire reconnaître la véritable valeur de leur secteur, et ils n'écartent pas la possibilité d'une grève générale pour faire comprendre aux responsables de la commune l'importance de leurs revendications », souligne El Harraq. Néanmoins, ils espèrent que la Wilaya continuera à jouer un rôle décisif dans la résolution du conflit, afin d'éviter tout problème potentiel lié à une grève.
Prévue initialement pour la fin du mois de mai dernier, une grève générale des propriétaires de cafés et de restaurants de Rabat avait été temporairement suspendue suite à l'intervention de la Wilaya de la région, dans le but de résoudre le conflit entre les parties. Malgré cette suspension, la possibilité d'une grève générale demeure d'actualité si leurs demandes ne sont pas satisfaites.
L’Association nationale des propriétaires de cafés et de restaurants du Maroc, sous la supervision de du secrétaire général de la Wilaya, a tenu une série de réunions avec le Conseil communal de Rabat. Ces rencontres ont débouché sur un accord pour former un comité conjoint chargé d’analyser le différend, principalement lié aux frais d’occupation temporaire du domaine public.
Dans une déclaration à Hespress, Noureddine El Harraq, président de l’Association nationale des propriétaires de cafés et de restaurants au Maroc, a exprimé son optimisme quant à la recherche d'une solution par le secrétaire général de la Wilaya de Rabat-Salé-Kénitra.
« Malheureusement, une réunion prévue la semaine dernière a été annulée en raison d’un problème de santé », explique-t-il, mais El Harraq reste confiant quant aux perspectives de résolution. Malgré l'absence d'annonce officielle d'annulation de l'augmentation des redevances collectives pour l'exploitation du domaine public, il demeure optimiste que « les négociations aboutiront rapidement à un accord satisfaisant pour les propriétaires de cafés et de restaurants, mettant ainsi fin au différend ».
« Les propriétaires de cafés et de restaurants sont toujours résolus à faire reconnaître la véritable valeur de leur secteur, et ils n'écartent pas la possibilité d'une grève générale pour faire comprendre aux responsables de la commune l'importance de leurs revendications », souligne El Harraq. Néanmoins, ils espèrent que la Wilaya continuera à jouer un rôle décisif dans la résolution du conflit, afin d'éviter tout problème potentiel lié à une grève.
Les origines du conflit
Le conflit a éclaté suite à l'annonce par le Conseil communal d'une augmentation significative des frais d'occupation temporaire de l'espace public, jugée "fantaisiste" par les professionnels du secteur. Ces frais sont passés de 70 dirhams le mètre à plus de 500 dirhams dans certaines zones des quartiers prestigieux. Face à cette hausse, les professionnels avaient menacé de déclencher une grève générale à la fin du mois de mai dernier, mais cette mesure avait été suspendue en attendant la décision finale de la maire.
