Tout au long d’un trajet de plus d’une soixantaine de kilomètres au départ de Marrakech et à destination d’Asni, un espace splendide au pied des montagnes du Haut Atlas, le silence qui règne sur l’atmosphère reste le seul mot d’ordre, si ce n’est le bruit de quelques véhicules qui viennent, de temps en temps, interrompre cette quiétude dans laquelle plongeaient les paysages verdoyants.
Sur toutes les zones traversées, la nature a pris pleinement ses droits et le confinement sanitaire a eu le mérite d’offrir une véritable «trêve» en faveur de l’environnement, permettant à cette région touristique de retrouver son éclat écologique d’antan.
Au carrefour menant vers la commune de Moulay Brahim, l’effervescence habituelle n’est qu’un beau souvenir. Pourtant, l’activité économique est maintenue pour arriver à répondre aux besoins des populations notamment, à l’approche du mois sacré du Ramadan où le rythme de consommation des ménages grimpe et les habitudes changent aussi.
A travers une tournée dans les épiceries, boucheries et points de vente de fruits et légumes ayant maintenu leur activité en marche, force est de constater que tous les produits sont offerts en abondance et que les prix sont stables car, conformément aux mesures et consignes prises par les autorités locales, toute la priorité est de préserver le pouvoir d’achat des ménages en cette circonstance exceptionnelle.
Bien que le souk hebdomadaire, les cafés et les restaurants traditionnels d’Asni sont fermés, on veille à ce que toutes les conditions d’une vie normale soient maintenues, tout en se conformant, scrupuleusement, au respect des mesures préventives. Grâce à l’implication effective des autorités locales, des instances élues et des acteurs associatifs, des campagnes de nettoyage, de désinfection et de stérilisation des espaces publics, souks et administrations s’organisent et s’intensifient.
La lutte contre le coronavirus c’est aussi l’heure aux valeurs d’entraide et de solidarité. Dans ce sens, Asni, comme d’ailleurs toutes les communes de la province, vit depuis le déclenchement de cette crise, au rythme d’une série d’actions et de campagnes de dons de denrées de première nécessité et d’aides, au profit des familles et des personnes nécessiteuses directement impactées par les répercussions de la pandémie.
A ce niveau, plusieurs bienfaiteurs et acteurs associatifs, appuyés par les autorités locales ont répondu présents au devoir national en se montrant proches et solidaires des couches les plus vulnérables, dans une illustration inouïe des vraies valeurs qui caractérisent la société marocaine.
Bref, à Asni, bourgade où il fait beau-vivre même en cette période de distanciation sociale, le confinement est synonyme d’une immersion au coeur de la nature. Dans différents villages et sites même ceux les plus isolés en montagnes comme dans les plaines et les collines, la vie suit son cours normal bien que ces zones apparaissent désertes et ne reçoivent plus de visiteurs tant marocains qu’étrangers parmi les férus des paysages naturels à couper le souffle.
Sur toutes les zones traversées, la nature a pris pleinement ses droits et le confinement sanitaire a eu le mérite d’offrir une véritable «trêve» en faveur de l’environnement, permettant à cette région touristique de retrouver son éclat écologique d’antan.
Au carrefour menant vers la commune de Moulay Brahim, l’effervescence habituelle n’est qu’un beau souvenir. Pourtant, l’activité économique est maintenue pour arriver à répondre aux besoins des populations notamment, à l’approche du mois sacré du Ramadan où le rythme de consommation des ménages grimpe et les habitudes changent aussi.
A travers une tournée dans les épiceries, boucheries et points de vente de fruits et légumes ayant maintenu leur activité en marche, force est de constater que tous les produits sont offerts en abondance et que les prix sont stables car, conformément aux mesures et consignes prises par les autorités locales, toute la priorité est de préserver le pouvoir d’achat des ménages en cette circonstance exceptionnelle.
Bien que le souk hebdomadaire, les cafés et les restaurants traditionnels d’Asni sont fermés, on veille à ce que toutes les conditions d’une vie normale soient maintenues, tout en se conformant, scrupuleusement, au respect des mesures préventives. Grâce à l’implication effective des autorités locales, des instances élues et des acteurs associatifs, des campagnes de nettoyage, de désinfection et de stérilisation des espaces publics, souks et administrations s’organisent et s’intensifient.
La lutte contre le coronavirus c’est aussi l’heure aux valeurs d’entraide et de solidarité. Dans ce sens, Asni, comme d’ailleurs toutes les communes de la province, vit depuis le déclenchement de cette crise, au rythme d’une série d’actions et de campagnes de dons de denrées de première nécessité et d’aides, au profit des familles et des personnes nécessiteuses directement impactées par les répercussions de la pandémie.
A ce niveau, plusieurs bienfaiteurs et acteurs associatifs, appuyés par les autorités locales ont répondu présents au devoir national en se montrant proches et solidaires des couches les plus vulnérables, dans une illustration inouïe des vraies valeurs qui caractérisent la société marocaine.
Bref, à Asni, bourgade où il fait beau-vivre même en cette période de distanciation sociale, le confinement est synonyme d’une immersion au coeur de la nature. Dans différents villages et sites même ceux les plus isolés en montagnes comme dans les plaines et les collines, la vie suit son cours normal bien que ces zones apparaissent désertes et ne reçoivent plus de visiteurs tant marocains qu’étrangers parmi les férus des paysages naturels à couper le souffle.
Samir LOTFY-(MAP)