Les pharmaciens ne supportent plus les «fausses promesses» de la tutelle.
C’est une colère qui retentit comme un cri longtemps retenu. Lassés des “fausses promesses”, les pharmaciens font monter l’escalade en manifestant, mardi, devant le siège du ministère de la Santé, pour forcer Amine Tahraoui à les écouter. L’unique moyen possible, jugent-ils, pour se faire entendre après des années de tergiversations.
Porteurs d’un vieux dossier revendicatif, les syndicats attendent toujours l’application de l’accord du 15 juillet 2023, resté lettre morte depuis sa signature, et reprochent à la tutelle sa sourde oreille. La fixation des prix des médicaments demeure l’une des pommes de discorde majeures. Le décret finalisé par le ministre est la goutte qui fait déborder le vase d’une longue colère qui explose aujourd’hui. Récit du malaise d’une profession qui se dit menacée.
Porteurs d’un vieux dossier revendicatif, les syndicats attendent toujours l’application de l’accord du 15 juillet 2023, resté lettre morte depuis sa signature, et reprochent à la tutelle sa sourde oreille. La fixation des prix des médicaments demeure l’une des pommes de discorde majeures. Le décret finalisé par le ministre est la goutte qui fait déborder le vase d’une longue colère qui explose aujourd’hui. Récit du malaise d’une profession qui se dit menacée.
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