Dans deux semaines, le gouvernement de Pedro Sánchez devra comparaitre devant les membres de la commission d'enquête relevant du Parlement européen, dont la mission est de découvrir qui a espionné le téléphone portable du président espagnol avec Pegasus et volé jusqu'à trois gigaoctets d'informations privées et confidentielles.
Le rendez-vous de cette comparution est le 29 novembre prochain. Lors de cette assise, le gouvernement espagnol doit être clair s'il entend désigner le Maroc comme responsable de ces ingérences illégales dans le téléphone portable de Sánchez, de la ministre de la Défense, Margarita Robles, et du ministre de l'Intérieur, Fernando Grande-Marlaska.
L'Espagne devra donc vérifier les membres de son gouvernement détiennent des preuves et ce n'est qu'après cela qu'elle poura les présenter devant ladite commission. Rappelons que, le gouvernement espagnol s'est basé sur la crise diplomatique entre les deux Royaumes, pour attribuer les attaques contre ces appareils au Maroc.
Au début de cette semaine, la commission d'enquête a disculpé le Maroc de ces allégations après avoir conclu une enquête qui a duré des mois, grâce à laquelle un rapport préliminaire a été émis, démontrant ainsi l'inexistence des preuves impliquant le Maroc.
Le rendez-vous de cette comparution est le 29 novembre prochain. Lors de cette assise, le gouvernement espagnol doit être clair s'il entend désigner le Maroc comme responsable de ces ingérences illégales dans le téléphone portable de Sánchez, de la ministre de la Défense, Margarita Robles, et du ministre de l'Intérieur, Fernando Grande-Marlaska.
L'Espagne devra donc vérifier les membres de son gouvernement détiennent des preuves et ce n'est qu'après cela qu'elle poura les présenter devant ladite commission. Rappelons que, le gouvernement espagnol s'est basé sur la crise diplomatique entre les deux Royaumes, pour attribuer les attaques contre ces appareils au Maroc.
Au début de cette semaine, la commission d'enquête a disculpé le Maroc de ces allégations après avoir conclu une enquête qui a duré des mois, grâce à laquelle un rapport préliminaire a été émis, démontrant ainsi l'inexistence des preuves impliquant le Maroc.