Selon un nouveau rapport du ministère palestinien de la Santé, les hôpitaux de la bande de Gaza ont enregistré l'arrivée d'un martyr et de six blessés au cours des dernières 24 heures, conséquences de l'agression israélienne.
Le rapport indique que les équipes d'ambulance et de protection civile ne parviennent toujours pas à atteindre les victimes ensevelies sous les décombres dans plusieurs zones.
Depuis la déclaration du cessez-le-feu le 11 octobre 2025, 377 personnes ont été tuées et 987 blessées, tandis que le nombre de personnes guéries s'élève à 626.
Par ailleurs, le correspondant d'Al-Mayadeen dans la bande de Gaza a rapporté la mort d'une personne, tuée par un tireur d'élite israélien dans la zone d'Atatra, à Beit Lahia, dans le nord de la bande de Gaza.
La même source rapporte que l’agression l'armée israélienne avait ciblé des habitations palestiniennes dans la Vieille Ville, près du Monastère latin, à Gaza.
Il a noté que l'armée israélienne avait bombardé le quartier de Shuja'iyya et mené des opérations de démolition, provoquant un exode massif des résidents palestiniens.
L'armée israélienne a mené d'importantes opérations de bombardement au carrefour de Shuja'iyya, entraînant le déplacement massif des habitants.
Les forces d'occupation ont également poursuivi la démolition de bâtiments à Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza, en utilisant conjointement des tirs d'artillerie lourde et des drones.
Al-Mayadeen a confirmé que l'agression israélienne touchait toutes les zones de la bande de Gaza. Les attaques ne se limitent pas à la «zone jaune» désignée, mais englobent toutes les zones, compte tenu de l'escalade intense dans la partie orientale de la bande.
Le rapport indique que les équipes d'ambulance et de protection civile ne parviennent toujours pas à atteindre les victimes ensevelies sous les décombres dans plusieurs zones.
Depuis la déclaration du cessez-le-feu le 11 octobre 2025, 377 personnes ont été tuées et 987 blessées, tandis que le nombre de personnes guéries s'élève à 626.
Par ailleurs, le correspondant d'Al-Mayadeen dans la bande de Gaza a rapporté la mort d'une personne, tuée par un tireur d'élite israélien dans la zone d'Atatra, à Beit Lahia, dans le nord de la bande de Gaza.
La même source rapporte que l’agression l'armée israélienne avait ciblé des habitations palestiniennes dans la Vieille Ville, près du Monastère latin, à Gaza.
Il a noté que l'armée israélienne avait bombardé le quartier de Shuja'iyya et mené des opérations de démolition, provoquant un exode massif des résidents palestiniens.
L'armée israélienne a mené d'importantes opérations de bombardement au carrefour de Shuja'iyya, entraînant le déplacement massif des habitants.
Les forces d'occupation ont également poursuivi la démolition de bâtiments à Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza, en utilisant conjointement des tirs d'artillerie lourde et des drones.
Al-Mayadeen a confirmé que l'agression israélienne touchait toutes les zones de la bande de Gaza. Les attaques ne se limitent pas à la «zone jaune» désignée, mais englobent toutes les zones, compte tenu de l'escalade intense dans la partie orientale de la bande.
La malnutrition menace les femmes enceintes et allaitantes
Par ailleurs, l’Unicef a alerté que la malnutrition des femmes enceintes ou allaitantes à Gaza a des "effets dévastateurs sur des milliers de nouveaux nés", constatant une hausse inquiétante du nombre de naissance de bébés de faible poids sur le territoire.
A Gaza "le constat est clair : des mères malnutries donnent naissance à des bébés prématurés ou de faible poids, qui meurent dans les unités de soins intensifs néonatals (...) ou survivent, pour ensuite souffrir de malnutrition ou de complications médicales", a déclaré une porte-parole du Fonds de l'ONU pour l'enfance (Unicef), Tess Ingram, lors d'un point-presse à Genève.
En 2022, 250 bébés par mois, soit 5% des nouveaux nés, naissaient à Gaza avec un faible poids, c'est-à-dire moins de 2,5 kilogrammes, selon le ministère local de la Santé.
Au premier semestre 2025, malgré une baisse des naissances, la proportion de bébés de faible poids s'est élevée à 10%, soit environ 300 bébés par mois. Et au cours des trois mois précédant le cessez-le-feu, de juillet à septembre, ce chiffre a encore grimpé pour atteindre une moyenne de 460 bébés par mois, soit 15 par jour, souligne l'Unicef.
L'insuffisance pondérale à la naissance est généralement due à une mauvaise nutrition maternelle, à un stress maternel accru et à un suivi prénatal insuffisant. "À Gaza, nous constatons ces trois facteurs, et la réponse est trop lente et insuffisante", a souligné Mme Ingram.
Entre juillet et septembre de cette année, environ 38% des femmes enceintes examinées par l'Unicef et ses partenaires ont reçu un diagnostic de malnutrition aiguë.
"En octobre, nous avons admis 8.300 femmes enceintes et allaitantes pour un traitement contre la malnutrition aiguë - soit environ 270 par jour - dans une région où aucun cas de malnutrition n'était constaté au sein de ce groupe avant octobre 2023", poursuit la porte-parole, rappelant que souvent les mères sacrifient leurs repas pour nourrir leurs enfants.
Selon l'Unicef, le nombre de bébés décédés le premier jour de leur vie a augmenté de 75% à Gaza, passant d'une moyenne de 27 bébés par mois en 2022 à 47 bébés par mois entre juillet et septembre 2025.
Par ailleurs, "au moins 165 enfants seraient morts dans la souffrance des suites de la malnutrition pendant la guerre" à Gaza, a ajouté la porte-parole.





















