« Faire venir Carlo Ancelotti pour entraîner le Brésil est plus qu'un mouvement stratégique. C'est une façon de dire au monde que nous sommes déterminés à reconquérir la plus haute marche du podium », a déclaré le président de la CBF, Ednaldo Rodrigues.
« Il est le plus grand entraîneur de l’histoire et dirige désormais la plus grande sélection de la planète. Ensemble, nous écrirons de nouveaux chapitres glorieux du football brésilien », a-t-il affirmé.
Cette annonce met un terme à une longue négociation entre l’entraîneur italien et la fédération brésilienne, marquée par plusieurs refus publics d’Ancelotti. Fin avril, le technicien de 65 ans avait officiellement décliné l’invitation de la CBF, malgré un contrat déjà rédigé.
Lié au Real Madrid jusqu’en 2026, Ancelotti avait initialement indiqué ne pouvoir prendre ses fonctions qu’en août, alors que la fédération espérait une arrivée dès juin, à l’issue de la saison européenne. Un désaccord persistant avec le club madrilène, qui a refusé de le libérer avant la Coupe du monde des clubs, a également retardé l’officialisation.
Selon la presse brésilienne, Ancelotti aurait exigé une indemnité de départ de 4 millions d’euros, proposition rejetée par le président du Real Madrid, Florentino Pérez. La CBF, de son côté, s’est refusée à payer une telle clause libératoire.
Le technicien italien, dont le nom circulait depuis 2023 pour succéder à Tite à la tête de la Seleçao, avait également été approché par un club d’Arabie saoudite avec une offre avoisinant les 50 millions d’euros nets par saison. Il avait finalement prolongé son contrat avec le Real Madrid en décembre dernier, alimentant l’incertitude sur son avenir.
D’après des médias espagnols, le Real Madrid aurait déjà conclu un accord avec Xabi Alonso, actuel entraîneur du Bayer Leverkusen, pour succéder à Ancelotti.
« Il est le plus grand entraîneur de l’histoire et dirige désormais la plus grande sélection de la planète. Ensemble, nous écrirons de nouveaux chapitres glorieux du football brésilien », a-t-il affirmé.
Cette annonce met un terme à une longue négociation entre l’entraîneur italien et la fédération brésilienne, marquée par plusieurs refus publics d’Ancelotti. Fin avril, le technicien de 65 ans avait officiellement décliné l’invitation de la CBF, malgré un contrat déjà rédigé.
Lié au Real Madrid jusqu’en 2026, Ancelotti avait initialement indiqué ne pouvoir prendre ses fonctions qu’en août, alors que la fédération espérait une arrivée dès juin, à l’issue de la saison européenne. Un désaccord persistant avec le club madrilène, qui a refusé de le libérer avant la Coupe du monde des clubs, a également retardé l’officialisation.
Selon la presse brésilienne, Ancelotti aurait exigé une indemnité de départ de 4 millions d’euros, proposition rejetée par le président du Real Madrid, Florentino Pérez. La CBF, de son côté, s’est refusée à payer une telle clause libératoire.
Le technicien italien, dont le nom circulait depuis 2023 pour succéder à Tite à la tête de la Seleçao, avait également été approché par un club d’Arabie saoudite avec une offre avoisinant les 50 millions d’euros nets par saison. Il avait finalement prolongé son contrat avec le Real Madrid en décembre dernier, alimentant l’incertitude sur son avenir.
D’après des médias espagnols, le Real Madrid aurait déjà conclu un accord avec Xabi Alonso, actuel entraîneur du Bayer Leverkusen, pour succéder à Ancelotti.