Il s’agit d’un engagement historique de tous les États membres de l’ONU pour prévenir le génocide, les crimes de guerre, le nettoyage ethnique et les crimes contre l’humanité, a relevé M. Hilale qui s’exprimait au nom de ce groupe comprenant 54 Etats membres et l’Union européenne lors du débat annuel de l’Assemblée générale des Nations Unies sur la responsabilité de protéger.
L’ambassadeur a également mis en avant les progrès considérables réalisés dans la compréhension des facteurs de risque, des causes et des dynamiques à l’origine des atrocités criminelles.
Lors de ce débat plénier, qui intervient cette année en commémoration du 20è anniversaire de l’adoption à l’unanimité par les Nations Unies de l’agenda de la Responsabilité de Protéger lors du Sommet mondial de 2005, M. Hilale a en outre insisté sur l’importance de placer les politiques, les pratiques et les structures qui renforcent les capacités de prévention et de réponse aux crises en cours au cœur des discussions, tout en mobilisant la volonté politique nécessaire.
Il a noté que la responsabilité de protéger doit être une considération essentielle dans le cadre de la mission commune de promouvoir la paix et la sécurité, les droits humains et le développement, et de garantir le respect du droit international humanitaire.
Évoquant l’initiative UN80, lancée récemment afin de permettre au système onusien de s’acquitter efficacement de ses missions, l’ambassadeur a souligné l’importance que ce processus préserve les fonctions essentielles de l’ONU qui sous-tendent la paix et la sécurité, le développement et les droits de l’Homme, nécessaires pour s’attaquer aux causes profondes des conflits et des besoins humanitaires, et de renforcer la capacité de l’ONU à prévenir les atrocités criminelles.
De son côté, durant la présentation de son 17è rapport sur la Responsabilité de protéger, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres a relevé que les menaces émergentes, telles que la militarisation des nouvelles technologies et la prolifération des armements de pointe, exigent une adaptation constante afin d’empêcher que des atrocités criminelles soient commises et de protéger les populations.
Il a mis l’accent sur la nécessité de prendre conscience que la Responsabilité de protéger n’est pas uniquement un principe. “C’est un impératif moral, ancré dans notre humanité commune et dans la Charte des Nations Unies”, ajoutant qu’aucune société n’est à l’abri du risque de crimes d’atrocité.
Pour sa part, le président de l’Assemblée générale de l’ONU, Philémon Yang a appelé à une introspection collective sur l’échec persistant à prévenir les atrocités, notant qu’au moment où des conflits sévissent à Gaza, en Ukraine, au Soudan et au Myanmar, l’inaction du Conseil de sécurité, l’ignorance des signaux d’alerte et l’érosion du respect du droit international sont déplorables.
Il a exhorté les États membres à passer des déclarations aux actes concrets, à renforcer les mécanismes de prévention et à placer la protection des populations au cœur des politiques nationales et régionales, en soulignant que “la protection n’est pas une aspiration. Elle commande notre action, individuellement et collectivement”.
L’ambassadeur a également mis en avant les progrès considérables réalisés dans la compréhension des facteurs de risque, des causes et des dynamiques à l’origine des atrocités criminelles.
Lors de ce débat plénier, qui intervient cette année en commémoration du 20è anniversaire de l’adoption à l’unanimité par les Nations Unies de l’agenda de la Responsabilité de Protéger lors du Sommet mondial de 2005, M. Hilale a en outre insisté sur l’importance de placer les politiques, les pratiques et les structures qui renforcent les capacités de prévention et de réponse aux crises en cours au cœur des discussions, tout en mobilisant la volonté politique nécessaire.
Il a noté que la responsabilité de protéger doit être une considération essentielle dans le cadre de la mission commune de promouvoir la paix et la sécurité, les droits humains et le développement, et de garantir le respect du droit international humanitaire.
Évoquant l’initiative UN80, lancée récemment afin de permettre au système onusien de s’acquitter efficacement de ses missions, l’ambassadeur a souligné l’importance que ce processus préserve les fonctions essentielles de l’ONU qui sous-tendent la paix et la sécurité, le développement et les droits de l’Homme, nécessaires pour s’attaquer aux causes profondes des conflits et des besoins humanitaires, et de renforcer la capacité de l’ONU à prévenir les atrocités criminelles.
De son côté, durant la présentation de son 17è rapport sur la Responsabilité de protéger, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres a relevé que les menaces émergentes, telles que la militarisation des nouvelles technologies et la prolifération des armements de pointe, exigent une adaptation constante afin d’empêcher que des atrocités criminelles soient commises et de protéger les populations.
Il a mis l’accent sur la nécessité de prendre conscience que la Responsabilité de protéger n’est pas uniquement un principe. “C’est un impératif moral, ancré dans notre humanité commune et dans la Charte des Nations Unies”, ajoutant qu’aucune société n’est à l’abri du risque de crimes d’atrocité.
Pour sa part, le président de l’Assemblée générale de l’ONU, Philémon Yang a appelé à une introspection collective sur l’échec persistant à prévenir les atrocités, notant qu’au moment où des conflits sévissent à Gaza, en Ukraine, au Soudan et au Myanmar, l’inaction du Conseil de sécurité, l’ignorance des signaux d’alerte et l’érosion du respect du droit international sont déplorables.
Il a exhorté les États membres à passer des déclarations aux actes concrets, à renforcer les mécanismes de prévention et à placer la protection des populations au cœur des politiques nationales et régionales, en soulignant que “la protection n’est pas une aspiration. Elle commande notre action, individuellement et collectivement”.