L’Office national des chemins de fer (ONCF) vient de lancer un projet ambitieux qui promet de transformer la mobilité au Maroc : une nouvelle ligne à grande vitesse (LGV) reliant Kénitra à Marrakech. Ce projet, estimé à plus de 4 milliards de dirhams, marque une nouvelle étape dans la modernisation du réseau ferroviaire marocain. Il s'agit d'un marché majeur couvrant les études et la réalisation des travaux de voie, caténaire, IAC, CSS, ainsi que la logistique et les bases de travaux.
Le marché est divisé en deux lots distincts. Le premier concerne le tronçon de 200 km reliant Sidi Ichou à Sidi El Aidi, avec un budget estimé à 2,2 milliards de dirhams. Le second lot, d'une longueur de 189 km, relie Sidi El Aidi à Marrakech, avec un budget d'environ 1,9 milliard de dirhams. La durée des travaux ne devra pas dépasser 48 mois, ce qui en fait un projet d’envergure visant à connecter des régions stratégiques du royaume.
La gare de Sidi Ichou, située à 15 km au nord de Kénitra, près de la zone franche d’Ouled Bourahma, jouera un rôle clé dans le transport de fret. De son côté, la gare de Sidi El Aidi , située dans la province de Settat, servira de point de jonction pour les trains se dirigeant vers Khouribga. Ces deux stations, intégrées dans le nouveau réseau, soutiendront la logistique ferroviaire et renforceront la compétitivité des zones industrielles avoisinantes.
La nouvelle ligne Kénitra-Marrakech est conçue pour permettre aux trains de circuler à une vitesse maximale de 350 km/h, bien que la vitesse d’exploitation soit limitée à 320 km/h sur un tracé de 450 km. Le projet reliera les grandes métropoles du nord et du sud du pays, facilitant ainsi les déplacements entre les villes de Kénitra, Rabat, Casablanca, et Marrakech.
Le tracé passera par plusieurs zones clés, notamment Rabat-Agdal, Aïn Atiq, Skhirat, Mohammédia, Zenata, Casa-Port, Casa-Voyageurs, et l'Aéroport Mohammed V. Cette infrastructure moderne facilitera également les déplacements entre les zones métropolitaines et les régions rurales, renforçant ainsi l’inclusion territoriale.
Ce projet de ligne à grande vitesse est bien plus qu'une amélioration du transport ferroviaire. Il représente un levier économique essentiel pour le Maroc. En reliant des hubs économiques majeurs comme Casablanca et Marrakech, la nouvelle LGV contribuera à dynamiser des secteurs clés tels que le tourisme, l’industrie et le commerce. Les villes desservies profiteront d’un afflux accru de voyageurs et de marchandises, renforçant ainsi leur attractivité et leur compétitivité.
L’ONCF, avec cette nouvelle infrastructure, ambitionne de positionner le Maroc comme un acteur de premier plan dans le domaine des infrastructures ferroviaires en Afrique. Le succès de la première ligne LGV Tanger-Kénitra a déjà prouvé l’impact positif de ces projets sur le développement national. La ligne Kénitra-Marrakech viendra compléter ce réseau, en facilitant les connexions entre le nord et le sud du pays.
Pour garantir le succès de ce projet, l'ONCF impose des critères de sélection stricts aux entreprises souhaitant soumissionner. Chaque offre doit comprendre une solide expertise technique et des moyens humains et matériels adaptés à la taille du chantier. Les entreprises devront également respecter des normes strictes en matière de qualité, de sécurité et d'environnement.
Les soumissionnaires sont invités à participer via le portail des marchés publics, une procédure entièrement digitalisée garantissant transparence et efficacité. La signature électronique est obligatoire pour soumettre les offres, conformément à la loi marocaine relative à l’échange électronique des données.
L'inauguration de cette nouvelle ligne à grande vitesse entre Kénitra et Marrakech s'annonce comme un tournant majeur pour les transports au Maroc. En améliorant les connexions interurbaines, le projet contribuera non seulement à la croissance économique du pays, mais aussi à renforcer son positionnement en tant que hub logistique et touristique. Grâce à cet investissement de plus de 4 milliards de dirhams, le Maroc continue d'avancer vers un avenir où la mobilité est plus rapide, plus efficace et plus inclusive.
Deux lots pour un chantier stratégique
Le marché est divisé en deux lots distincts. Le premier concerne le tronçon de 200 km reliant Sidi Ichou à Sidi El Aidi, avec un budget estimé à 2,2 milliards de dirhams. Le second lot, d'une longueur de 189 km, relie Sidi El Aidi à Marrakech, avec un budget d'environ 1,9 milliard de dirhams. La durée des travaux ne devra pas dépasser 48 mois, ce qui en fait un projet d’envergure visant à connecter des régions stratégiques du royaume.
La gare de Sidi Ichou, située à 15 km au nord de Kénitra, près de la zone franche d’Ouled Bourahma, jouera un rôle clé dans le transport de fret. De son côté, la gare de Sidi El Aidi , située dans la province de Settat, servira de point de jonction pour les trains se dirigeant vers Khouribga. Ces deux stations, intégrées dans le nouveau réseau, soutiendront la logistique ferroviaire et renforceront la compétitivité des zones industrielles avoisinantes.
Une ligne à grande vitesse pour le Maroc moderne
La nouvelle ligne Kénitra-Marrakech est conçue pour permettre aux trains de circuler à une vitesse maximale de 350 km/h, bien que la vitesse d’exploitation soit limitée à 320 km/h sur un tracé de 450 km. Le projet reliera les grandes métropoles du nord et du sud du pays, facilitant ainsi les déplacements entre les villes de Kénitra, Rabat, Casablanca, et Marrakech.
Le tracé passera par plusieurs zones clés, notamment Rabat-Agdal, Aïn Atiq, Skhirat, Mohammédia, Zenata, Casa-Port, Casa-Voyageurs, et l'Aéroport Mohammed V. Cette infrastructure moderne facilitera également les déplacements entre les zones métropolitaines et les régions rurales, renforçant ainsi l’inclusion territoriale.
Un projet pour stimuler l'économie nationale
Ce projet de ligne à grande vitesse est bien plus qu'une amélioration du transport ferroviaire. Il représente un levier économique essentiel pour le Maroc. En reliant des hubs économiques majeurs comme Casablanca et Marrakech, la nouvelle LGV contribuera à dynamiser des secteurs clés tels que le tourisme, l’industrie et le commerce. Les villes desservies profiteront d’un afflux accru de voyageurs et de marchandises, renforçant ainsi leur attractivité et leur compétitivité.
L’ONCF, avec cette nouvelle infrastructure, ambitionne de positionner le Maroc comme un acteur de premier plan dans le domaine des infrastructures ferroviaires en Afrique. Le succès de la première ligne LGV Tanger-Kénitra a déjà prouvé l’impact positif de ces projets sur le développement national. La ligne Kénitra-Marrakech viendra compléter ce réseau, en facilitant les connexions entre le nord et le sud du pays.
Un projet aux critères techniques exigeants
Pour garantir le succès de ce projet, l'ONCF impose des critères de sélection stricts aux entreprises souhaitant soumissionner. Chaque offre doit comprendre une solide expertise technique et des moyens humains et matériels adaptés à la taille du chantier. Les entreprises devront également respecter des normes strictes en matière de qualité, de sécurité et d'environnement.
Les soumissionnaires sont invités à participer via le portail des marchés publics, une procédure entièrement digitalisée garantissant transparence et efficacité. La signature électronique est obligatoire pour soumettre les offres, conformément à la loi marocaine relative à l’échange électronique des données.
Un avenir connecté
L'inauguration de cette nouvelle ligne à grande vitesse entre Kénitra et Marrakech s'annonce comme un tournant majeur pour les transports au Maroc. En améliorant les connexions interurbaines, le projet contribuera non seulement à la croissance économique du pays, mais aussi à renforcer son positionnement en tant que hub logistique et touristique. Grâce à cet investissement de plus de 4 milliards de dirhams, le Maroc continue d'avancer vers un avenir où la mobilité est plus rapide, plus efficace et plus inclusive.
Un levier pour le développement économique
Ce projet s’inscrit dans la volonté du Maroc de consolider son réseau ferroviaire à grande vitesse, après le succès de la ligne Tanger-Kénitra. Cette nouvelle LGV facilitera les déplacements entre le nord et le sud du pays, réduisant les temps de trajet tout en stimulant le développement économique des villes desservies. Marrakech, destination phare du tourisme international, bénéficiera d’une accessibilité améliorée, favorisant ainsi l’essor du secteur touristique et des investissements.
L’ONCF prévoit d’attribuer les marchés au plus tard en octobre 2024, avec un démarrage des travaux dans la foulée. Ce projet s'annonce comme l'une des infrastructures les plus ambitieuses du pays, destinée à marquer un tournant dans la mobilité et l'essor économique du Maroc.
L’ONCF prévoit d’attribuer les marchés au plus tard en octobre 2024, avec un démarrage des travaux dans la foulée. Ce projet s'annonce comme l'une des infrastructures les plus ambitieuses du pays, destinée à marquer un tournant dans la mobilité et l'essor économique du Maroc.