L'Iran a annoncé, mercredi, le démarrage des préparatifs pour la visite du Directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, à Téhéran en février prochain.
C'est ce qui ressort des déclarations du responsable de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, Mohammad Eslami, aux journalistes en marge d'une réunion du gouvernement, selon l'agence de presse locale Mehr.
Eslami a déclaré que les relations de son pays avec l'Agence internationale de l'énergie atomique se poursuivraient, et que "les dispositions relatives à la visite de Grossi à Téhéran sont actuellement à l'ordre du jour et font l'objet d'un suivi".
Le responsable iranien a souligné que "son pays fait désormais partie des cinq premiers producteurs de médicaments radiopharmaceutiques au monde".
Eslami a souligné que "les médicaments radiopharmaceutiques produits localement sont plus efficaces que les médicaments utilisés dans le traitement du cancer".
Les diplomates de l'Iran, des États-Unis et de cinq autres pays négocient depuis des mois, dans la capitale autrichienne Vienne, un accord visant à réimposer des restrictions sur le programme nucléaire de Téhéran en échange de la levée des sanctions économiques que l'ancien président américain Donald Trump avait réimposées après le retrait de Washington de l'accord en mai 2018.
C'est ce qui ressort des déclarations du responsable de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, Mohammad Eslami, aux journalistes en marge d'une réunion du gouvernement, selon l'agence de presse locale Mehr.
Eslami a déclaré que les relations de son pays avec l'Agence internationale de l'énergie atomique se poursuivraient, et que "les dispositions relatives à la visite de Grossi à Téhéran sont actuellement à l'ordre du jour et font l'objet d'un suivi".
Le responsable iranien a souligné que "son pays fait désormais partie des cinq premiers producteurs de médicaments radiopharmaceutiques au monde".
Eslami a souligné que "les médicaments radiopharmaceutiques produits localement sont plus efficaces que les médicaments utilisés dans le traitement du cancer".
Les diplomates de l'Iran, des États-Unis et de cinq autres pays négocient depuis des mois, dans la capitale autrichienne Vienne, un accord visant à réimposer des restrictions sur le programme nucléaire de Téhéran en échange de la levée des sanctions économiques que l'ancien président américain Donald Trump avait réimposées après le retrait de Washington de l'accord en mai 2018.