
Suite à un contrôle effectué, vendredi dernier, par les services de l’Etat et de l’inspection de la jeunesse et des sports, les pompiers et l’Union de recouvrement pour la sécurité sociale et les allocations familiales (Urssaf), il fut constaté que ladite association présentait divers disfonctionnements qui sont derrière la suspension de ses activités.
Ce contrôle aurait, selon France Tv Info, mis en évidence la présence de 47 mineurs de plus de 6 ans, scolarisés du CP au CM2 qui sont accueillis tous les mercredis, samedis et dimanches de septembre à juin. Or, l’association n'aurait pas déclaré ses activités, emploi du temps et autres modalités à la préfecture, a ajouté la même source. «On ne sait pas ce qui est enseigné, ni qui l’enseigne, pourquoi cette association existe. Donc, on ne pouvait pas laisser faire sans savoir ce qu’il s’y passe», a déclaré Lulia Suc, directrice de cabinet du préfet du Gard.
Outre le fait que les pompiers ont signalé un «danger marqué pour le public» lors de la visite technique des lieux, la préfecture a relevé qu'elle n'a pas pu «procéder au contrôle de l'honorabilité des intervenants en contact avec les mineurs accueillis, ni vérifier leurs qualifications et plus largement s'assurer que les conditions dans lesquelles est organisé cet accueil sont conformes aux exigences réglementaires».
Un lieu d'accueil de la même association basée à Montpellier a été fermé au public en octobre 2020, conformément à un arrêté pris par le préfet et notifié à son président, a rappelé la même source.
Ce contrôle aurait, selon France Tv Info, mis en évidence la présence de 47 mineurs de plus de 6 ans, scolarisés du CP au CM2 qui sont accueillis tous les mercredis, samedis et dimanches de septembre à juin. Or, l’association n'aurait pas déclaré ses activités, emploi du temps et autres modalités à la préfecture, a ajouté la même source. «On ne sait pas ce qui est enseigné, ni qui l’enseigne, pourquoi cette association existe. Donc, on ne pouvait pas laisser faire sans savoir ce qu’il s’y passe», a déclaré Lulia Suc, directrice de cabinet du préfet du Gard.
Outre le fait que les pompiers ont signalé un «danger marqué pour le public» lors de la visite technique des lieux, la préfecture a relevé qu'elle n'a pas pu «procéder au contrôle de l'honorabilité des intervenants en contact avec les mineurs accueillis, ni vérifier leurs qualifications et plus largement s'assurer que les conditions dans lesquelles est organisé cet accueil sont conformes aux exigences réglementaires».
Un lieu d'accueil de la même association basée à Montpellier a été fermé au public en octobre 2020, conformément à un arrêté pris par le préfet et notifié à son président, a rappelé la même source.