A l’instar de Malek, le chanteur marocain Friha est presque le dernier “des Mohicans”, un des rares chanteurs francophones qui restent encore fidèles à leur magnifique style musical particulier, avec la profonde conviction de continuer à oeuvrer pour son enrichissement et la valorisation de la culture de l’oriental marocain et sa diversité.
Parolier, compositeur et chanteur, cet artiste oujdi d’origine, se dit fier de porter aux tripes l’amour viscéral de sa patrie, un Maroc séculaire, qu’il respire comme l’air pur dans la majorité de ses chansons. Friha, se sent aujourd’hui comblé, même s’il ne jouit pas encore de la notoriété que son travail artistique lui vaudrait.
Ce charmant garçon de l’Oriental compte déjà un palmarès artistique composé de quatre albums dont le dernier comporte huit chansons empruntées à divers genres allant du Rai à l’Hindou, en passant par la méthode légère pro-classique. Il s’agit respectivement de «Je viens de l’Oriental» (2008), «De Paris à Marrakech » (2015), « Maroc mon pays» (2018) et «Vive la vie» (2022).
Plaire et rester soi-même
Selon des observateurs avertis, Friha qui n’a plus à se faire de l’écho laissé par ses chansons antérieures, s’impose d’avantage comme le pilier incontournable de la démarche expérimentale vers l’assise irrémédiable de la chanson intégralement marocaine, de langue française.
«Sa manière de chanter marquée par une métrologie accro à l’expression sentimentale purement ancrée dans l’amour patriotique et l’ouverture universelle, et ses prestations artistiques en perpétuelle progression vers un horizon des plus appréciés, méritent tous les égards», s’accordent-ils. L’art pour Friha ? C’est le fait de plaire tout en restant soi-même. La chanson ? C’est l’air du temps. Pourquoi chante-t-il en français ? «Pour me retrouver, pour être tout près de moi-même.»
Parolier, compositeur et chanteur, cet artiste oujdi d’origine, se dit fier de porter aux tripes l’amour viscéral de sa patrie, un Maroc séculaire, qu’il respire comme l’air pur dans la majorité de ses chansons. Friha, se sent aujourd’hui comblé, même s’il ne jouit pas encore de la notoriété que son travail artistique lui vaudrait.
Ce charmant garçon de l’Oriental compte déjà un palmarès artistique composé de quatre albums dont le dernier comporte huit chansons empruntées à divers genres allant du Rai à l’Hindou, en passant par la méthode légère pro-classique. Il s’agit respectivement de «Je viens de l’Oriental» (2008), «De Paris à Marrakech » (2015), « Maroc mon pays» (2018) et «Vive la vie» (2022).
Plaire et rester soi-même
Selon des observateurs avertis, Friha qui n’a plus à se faire de l’écho laissé par ses chansons antérieures, s’impose d’avantage comme le pilier incontournable de la démarche expérimentale vers l’assise irrémédiable de la chanson intégralement marocaine, de langue française.
«Sa manière de chanter marquée par une métrologie accro à l’expression sentimentale purement ancrée dans l’amour patriotique et l’ouverture universelle, et ses prestations artistiques en perpétuelle progression vers un horizon des plus appréciés, méritent tous les égards», s’accordent-ils. L’art pour Friha ? C’est le fait de plaire tout en restant soi-même. La chanson ? C’est l’air du temps. Pourquoi chante-t-il en français ? «Pour me retrouver, pour être tout près de moi-même.»
Mohamed LOKHNATI