L'information du jeudi a été lancée par le média espagnol « AS ». L’Espagne et le Portugal envisageraient d’inclure le Maroc dans le dossier commun de leur candidature au Mondial 2030.
Le Maroc remplacerait l’Ukraine annoncé initialement plutôt pour des raisons extra sportives en relation avec le conflit russo-ukrainien mais en pratique peu opérationnel pour des raisons géographiques et logique : l’Ukraine est bien loin de la Péninsule Ibérique.
Un argument plus probant en faveur de cette nouvelle orientation annoncé par « AS »: le réchauffement des relations et des échanges maroco-espagnols.
L’autre argument étayé par le média espagnol : l’affaire impliquant le président de la fédération ukrainienne de football, Andriy Pavelko, lequel est visé par une enquête pour fraude et blanchiment d'argent. Affaire pour laquelle le dirigeant ukrainien est suspendu jusqu’à nouvel ordre. Andriy Pavelko risque même jusqu'à 12 ans de prison.
Aussi, Le Portugal et l’Espagne éviteront-ils de s’allier avec l'Ukraine pour ne pas nuire à l'image de leur candidature.
Troisième argument, les félicitations adressées par la FIFA au Maroc après le récent Mondial des clubs pour l'excellente organisation de l'événement dont les Espagnols ont été des témoins directs et intéressés en suivant la participation du Real.
« AS » ajoute que de ‘’sérieux contacts avec le Royaume sont amenés à s’intensifier dans les semaines à venir. La FIFA doit en effet présenter le cahier des charges pour organiser le Mondial 2030 en juin prochain puis annoncer l’heureux élu au troisième trimestre 2024’’.
Pour rappel, le Maroc avait déjà manifesté son intérêt pour le projet commun espano-portugais. Ce ne sera donc qu’une reprise.
Le Maroc remplacerait l’Ukraine annoncé initialement plutôt pour des raisons extra sportives en relation avec le conflit russo-ukrainien mais en pratique peu opérationnel pour des raisons géographiques et logique : l’Ukraine est bien loin de la Péninsule Ibérique.
Un argument plus probant en faveur de cette nouvelle orientation annoncé par « AS »: le réchauffement des relations et des échanges maroco-espagnols.
L’autre argument étayé par le média espagnol : l’affaire impliquant le président de la fédération ukrainienne de football, Andriy Pavelko, lequel est visé par une enquête pour fraude et blanchiment d'argent. Affaire pour laquelle le dirigeant ukrainien est suspendu jusqu’à nouvel ordre. Andriy Pavelko risque même jusqu'à 12 ans de prison.
Aussi, Le Portugal et l’Espagne éviteront-ils de s’allier avec l'Ukraine pour ne pas nuire à l'image de leur candidature.
Troisième argument, les félicitations adressées par la FIFA au Maroc après le récent Mondial des clubs pour l'excellente organisation de l'événement dont les Espagnols ont été des témoins directs et intéressés en suivant la participation du Real.
« AS » ajoute que de ‘’sérieux contacts avec le Royaume sont amenés à s’intensifier dans les semaines à venir. La FIFA doit en effet présenter le cahier des charges pour organiser le Mondial 2030 en juin prochain puis annoncer l’heureux élu au troisième trimestre 2024’’.
Pour rappel, le Maroc avait déjà manifesté son intérêt pour le projet commun espano-portugais. Ce ne sera donc qu’une reprise.
