Clap de fin pour la 21ème édition du Festival International du Cinéma d’Animation de Meknès (FICAM) qui aura, selon les organisateurs, dépassé toutes les attentes en terme d’affluence, plus de 28.000 festivaliers dont 6.700 écoliers ont assisté à des projections scolaires en présence de professionnels du cinéma d’animation, et surtout en terme de qualité artistique et d’échanges. Des rencontres qui ont permis une certaine transmission de valeurs patrimoniales, d’humanisme joyeux, de tolérance, de respect de l’autre. Des préoccupations plus que légitimes en cette période d’incertitudes, selon M. Fabrice Mongiat, directeur de l’Institut français de Meknès.
En effet, depuis plus de 21 ans, l’équipe artistique propose un univers singulier présentant principalement des films d’auteurs avec des valeurs éducatives, des valeurs de transmission du patrimoine et de la mémoire. Sans oublier les films de divertissement, si ces derniers véhiculent des valeurs similaires et s’ils offrent une réelle émotion aux spectateurs.
Pour les récompenses, cette année le jury a octroyé le Grand prix (3000 euros) à Stéphanie Clément, pour son court-métrage «Pachyderme», alors que la mention spéciale du jury a été décernée à la marocaine Sofia El Khyari pour son court métrage «L’ombre des papillons».
Le Prix du meilleur film étudiant a été octroyé à Mohammed Babakoohi pour «Feux», alors que le Prix Jeune public est revenu à «C’est la mer à boire» d’Eugénie Marguerite.
«Ecorchée» de Joachim Hérissé a reçu le Prix du jury junior, composé d’élèves de la spécialité cinéma du lycée Paul Valéry et le Prix du public a été décerné à «A cœur perdu» de Sarah Saidan.
Quant au Prix du meilleur long-métrage d’animation, doté de 2000 euros, il a été décerné à «Dounia et la princesse d’Alep» de Marya Zarif.
A noter que «La résidence», projet initié en 2016 par la NEF Animation, l’Institut français de Meknès et la Fondation Aïcha qui offre à des auteurs francophones un mois de résidence à Meknès pour développer la phase d’écriture de leur projet de film d’animation poursuit son activité jusqu’au 20 mars courant. Cette résidence s’inscrit dans une logique de soutien à l’émergence de la filière animation en Afrique et au Maroc, de coopération Nord-Sud dans l’espace francophone et de mobilité des jeunes créateurs.
En effet, depuis plus de 21 ans, l’équipe artistique propose un univers singulier présentant principalement des films d’auteurs avec des valeurs éducatives, des valeurs de transmission du patrimoine et de la mémoire. Sans oublier les films de divertissement, si ces derniers véhiculent des valeurs similaires et s’ils offrent une réelle émotion aux spectateurs.
Pour les récompenses, cette année le jury a octroyé le Grand prix (3000 euros) à Stéphanie Clément, pour son court-métrage «Pachyderme», alors que la mention spéciale du jury a été décernée à la marocaine Sofia El Khyari pour son court métrage «L’ombre des papillons».
Le Prix du meilleur film étudiant a été octroyé à Mohammed Babakoohi pour «Feux», alors que le Prix Jeune public est revenu à «C’est la mer à boire» d’Eugénie Marguerite.
«Ecorchée» de Joachim Hérissé a reçu le Prix du jury junior, composé d’élèves de la spécialité cinéma du lycée Paul Valéry et le Prix du public a été décerné à «A cœur perdu» de Sarah Saidan.
Quant au Prix du meilleur long-métrage d’animation, doté de 2000 euros, il a été décerné à «Dounia et la princesse d’Alep» de Marya Zarif.
A noter que «La résidence», projet initié en 2016 par la NEF Animation, l’Institut français de Meknès et la Fondation Aïcha qui offre à des auteurs francophones un mois de résidence à Meknès pour développer la phase d’écriture de leur projet de film d’animation poursuit son activité jusqu’au 20 mars courant. Cette résidence s’inscrit dans une logique de soutien à l’émergence de la filière animation en Afrique et au Maroc, de coopération Nord-Sud dans l’espace francophone et de mobilité des jeunes créateurs.
Hassan BENMAHMOUD